La résilience est définie comme une capacité à faire face aux expériences de vie difficiles et parfois extrêmement douloureuses.
Force est de constater que certains y arriveront plus que d’autres, pourquoi ?
La résilience peut-elle alors être innée ou acquise ? Naissons-nous résilients ?
La résilience, une identité individuelle.
Définir la résilience comme un trait de personnalité fait polémique aujourd’hui. Car cela induit que nous arrivons au monde avec cette identité. En parallèle de cela, la résilience est considérée comme un processus qui va identifier des ressources en soi et les faire se développer pour dépasser l’adversité.
Au travers de ces deux aspects, on comprend que la résilience laisse alors la place à l’identité individuelle.
Naître résilient fait de moi un individu prédisposé à conjurer les difficultés relatives à ma vie, apprendre à être résilient fait de moi un individu en constante évolution résiliente.
Mais alors ce que nous devons analyser dans cette double approche, c’est qu’il y aurait deux types d’individus résilients :
-Celui qui a ce caractère inné et stable, ce qui sous-entend que notre santé est également positive.
-Celui qui se construit résilient en puisant dans ses ressources personnelles pour parvenir à une positivité de la situation.
Dans les deux cas, elle représente une identité individuelle qui aurait pour facteur commun : une force positive propre à chacun.