Aujourd’hui, le mariage a parfois mauvaise réputation. Très souvent on entend dire que celui-ci est le début des ennuis dans le couple ou qu’il va finir par se solder en divorce. Ces propos ne font pas rêver, j’en conviens. Alors que certains font ce choix de s’unir parce qu’ils s’aiment, ils se retrouvent au fil du temps coincés et l’amour entre les deux partenaires connaît alors une chute brutale. On se demande par conséquent si ce oui a été dit au bon moment dans l’histoire d’amour. Quand faudrait-il se dire oui lorsqu’on s’aime ? Quelles sont les étapes à passer dans son couple avant d’envisager le mariage ? La première étape : La destination Lors de la rencontre amoureuse, que celle-ci soit un coup de foudre ou qu’elle soit une volonté des deux personnes à ouvrir leur cœur à l’autre pour vivre une histoire, celle-ci met en vie deux personnes différentes qui se retrouvent sur la même destination. Cela n’exclut donc aucunement les rencontres amoureuses à distance. Au démarrage, rien ne va empêcher les sentiments de s’exprimer. C’est plus fort que tout. L’amour dans sa belle vibration explose et chacun vit cette reliance à l’autre dans le bonheur. La destination est là, connue des deux partenaires. Les deux personnes se sont trouvées et elles commencent le voyage dans leur cœur. Le cœur vibre, le corps frissonne. On se découvre dans ce premier reflet de l’amour, dans cette première étape. Les deux partenaires fusionnent et sont reliés à la vie de l’amour. La passion s’installe et illumine tout leur être. La destination est choisie et on arrive alors avec ses valises. C’est là que nous passons à la deuxième étape. La deuxième étape : Le choix de l’autre C’est souvent cette deuxième étape qui va mettre en jeu la relation d’amour. Car c’est là que le couple se choisit mutuellement pour continuer le chemin ensemble. Dans la relation, chacun arrive chargé de son vécu, de ses histoires, de ses mémoires qu’il a en lui. Les blessures s’ouvrent et c’est dans cette étape qu’elles vont pouvoir se nettoyer individuellement grâce au pouvoir de l’autre. L’autre que vous allez choisir comme une évidence si vous arrivez à passer le cap de l’identification de vos propres blessures. En effet, nos blessures nous appartiennent et celui qui est en face de nous aura ce rôle de miroir qui va réveiller nos souffrances obscures, nos profondes fragilités. On se regarde, on prend en pleine face ce que l’autre touche de façon involontaire sauf si cette personne bien sûr est toxique. Il faudra bien faire la différence dans les individus. Quelqu’un de sain n’ira pas ouvrir volontairement vos blessures mais elle sera là pour les voir avec vous, pour les mettre en lumière. Si vous rencontrez quelqu’un ce n’est jamais par hasard. Et lorsque cette rencontre est amoureuse, cette étape du choix de l’autre est essentielle car c’est là que vous allez choisir si cette personne va être capable d’accueillir vos blessures et que réciproquement vous ne rejetterez pas la faute sur l’autre. C’est une question de responsabilité individuelle. Cette prise de conscience est primordiale et génère tout le lien profond avec votre partenaire. Car chacun va à la fois s’auto guérir et va donc offrir au couple également une guérison positive pour la suite. Vous sentez alors profondément que c’est la bonne personne, je vous assure. Le choix de l’autre doit être une évidence. Il ne faut aucun doute dans cette étape pour passer à la suivante. La suite via ce lien
Des moments dans la vie qui arrivent de façon inattendue. Ça peut cabosser, ça peut nous remuer profondément et l’arrivée d’un enfant est un moment mystérieux de notre chemin.L’enfant arrive et il vient frapper à votre porte sans trop savoir comment on va ouvrir cette porte. Être maman, être papa c’est une révolution intérieure qui va faire remonter beaucoup de notre histoire personnelle.Oui la paternité et la maternité sont des moments essentiels dans notre résilience, dans notre force de vie.Le petit être va venir vous chatouiller l’intérieur de vos cellules, va venir vous chuchoter tout ce que vous n’avez jamais alors entendu des autres. Le bébé est en dialogue avec votre intimité et votre intériorité. Il va venir délicatement caresser de son insouciance vos blessures secrètes encore jamais dévoilées. Car dans l’acte d’accueil et d’amour liés à la paternité, vous connectez à votre homme. Celui qui a avancé jusqu’à présent seul ou accompagné, il arrive cette fois-ci qu’il devienne un autre homme. Un homme plus résilient face à sa vie. Car la paternité a ce pouvoir de vous rendre plus sensible aux émotions de la vie. Cette rencontre nouvelle va venir réparer et découvrir d’autres blessures que vous aviez bien enfouies au fond de vous. Mais dans la paternité, il y a ce mouvement de la vie que seul un enfant peut faire naître profondément: l’amour inconditionnel. Celui qui se donne sans rien attendre, celui qui se respire et qui vous traverse partout. Celui qui prend tout le parfum de votre peau et que vous sentez même la nuit. Un enfant bouleverse, une paternité transcende.Oui dans cette arrivée, des difficultés viendront. Votre résilience sera alors au creux de votre espace d’homme. Vous frapperez encore plus fort sur le sol pour mieux vous ancrer, vous parlerez encore plus fort pour imposer la liberté et puis vous aimerez plus tendrement lorsqu’il viendra vous dire papa. La paternité est un moment de résilience tendu, subtil, étonnant. Cette résilience en vous que vous connaissiez dans les coups durs vient à vous dans un inconnu, un inattendu. Cette résilience du qui suis-je?Cette résilience de la vie que nous avons la chance certains d’entre nous de vivre quand un enfant arrive dans notre vie.Pour d’autres, cette arrivée viendra lever d’autres souffrances plus intenses alors il ne faudra pas perdre de vue que l’arrivée d’un enfant est un choix, que celui-ci soit entendu par les deux partenaires ou pas. Il reste un choix de l’existence. Un enfant vous choisit dans votre énergie de vie, un enfant viendra choisir ses parents. Pourquoi alors parler de résilience dans ce moment de vie? Parce que dans votre relation avec l’enfant, vous serez confronté à votre communication verbale et non verbale. Et dans cette communication complète se cache tout votre environnement d’amour, tout votre espace résilient.Oui votre environnement de besoins, de sécurité, de bienveillance, de preuve d’amour.Comme c’est difficile d’entendre un enfant pleurer et ne pas savoir quoi faire?C’est alors au fond de vous, dans vos ressources résilientes que vous allez puiser votre force pour accompagner ce chemin de parole avec votre enfant. Combien de fois de mon côté ai-je vu mon coeur s’emballer, ai-je vu le désarroi dans les yeux des papas de mes fils quand on n’arrive pas à les calmer.Alors c’est là qu’il faut aller au fond, au profond, au creux de notre être résilient pour comprendre, communiquer et aller vers le coeur de l’enfant pour lui donner aussi des ressources de résilience. La paternité tout comme la maternité sont des moments importants qui vont construire vos piliers de résilience. Pour aller plus loin dans le concept de résilience, je vous invite à lire: Neurogénèse, la résilience tout au long de sa vie. Passer du coeur blessé au coeur guériLa résilience en plein coeur La résilience en plein coeur
Saviez-vous que dans la journée nous soupirons en moyenne 300 fois ? Quand on a le souffle coupé et qu’on prend un grand soupir. Quand on manque d’air, et que le soupir nous sauve. Quand on est bouleversé et que le souffle est une réponse à nos questions, à nos états émotionnels. Quand on fait l’amour avec son partenaire le souffle parfois coupé, le souffle à deux en même temps et que nous nous arrêtons pour respirer en grand toute l’énergie partagée durant l’acte d’amour. Le soupir, un souffle au cœur. Le soupir, une vague au désir. Le soupir, une réponse à la mort. Quand on prend conscience des différents soupirs dans notre vie pour atteindre le bonheur. Le soupir est une mort qui n’arrive pas encore. C’est un baiser en suspens. Nelly Delas Le soupir après un long sommeil. Le soupir se manifeste toujours quand quelque chose s’arrête en nous, soit la respiration, soit l’effort, soit le chagrin, soit le flow de sa vie. En 1 journée, nous soupirons 300 fois. 300 soupirs pour vivre et aimer. Entre respiration et émotion, le soupir est une réponse vitale et accompagnatrice dans notre propre catharsis. La catharsis est la libération affective, celle qui va nettoyer nos passions. Depuis toujours, le soupir fait partie des romances, des contes. De La Belle au Bois dormant à Blanche Neige, on espère, on attend ce souffle vivant qui fera ouvrir la bouche de l’aimée. Et c’est le baiser de l’amant qui viendra réveiller l’âme dans une libération des poumons et du cœur. Dans sa fonction biologique, le soupir est tout simplement une réponse à l’oxygène qui nous manque dans les poumons, c’est le souffle vital mais il n’est pas que cela, il est aussi une ouverture aux questions restées en suspens en nous, c’est le soupir d’amour. En 24 heures, nous ne nous rendons pas forcément compte de tous ces soupirs. Le soupir est tout d’abord vital. Et c’est notre cerveau qui va nous dire comment respirer. Les neurones qu’on appelle ” Les boutons de soupirs” nous alertent quand nous manquons d’air, quand quelque chose ne fonctionne pas normalement dans la prise d’oxygène. Lorsque nous soupirons, nos alvéoles pulmonaires s’ouvrent et nous permettent de prendre l’oxygène vital. Le soupir maintient donc le cycle de la vie. Il est une connexion parfaite entre notre cerveau et notre système respiratoire. Si le soupir est une réponse à la mort, il est aussi une manifestation de notre émotion. Après un sommeil émotionnel où l’enfant, l’homme ou la femme a gardé en lui tout son chagrin, son tourment, le soupir de l’émotion endormie en nous s’éveille dans une profonde inspiration qui va nous permettre de remettre notre état en présence et nous permettre de sortir de ce sommeil latent. C’est le pouvoir des soupirs émotionnels. Ils arrivent souvent dans une situation angoissante, bouleversante, frustrante. Ils jouent le rôle alors d’une libération affective. Vivre ces soupirs vitaux ou ces soupirs émotionnels ; les soupirs sont étranges. Ils ont un pouvoir exceptionnel pour nous permettre d’atteindre le bonheur. Pourquoi ? La suite via ce lien.
Comment être dans sa pleine féminité avec son partenaire? Il vous est certainement arrivé de douter de vous dans votre relation avec votre partenaire. Suis-je assez belle, assez sexy, assez sensuelle ? Entre lui faire plaisir, me faire plaisir et nous faire plaisir, il y a plusieurs aspects à prendre en considération dans une relation amoureuse. Une véritable relation d’amour saura vous accueillir dans toute votre panoplie de femme. Être belle, sensuelle, sexuelle génèrent tout le pouvoir au féminin tant dans ses transparences que dans ces troubles. La féminité est un mélange subtil de ces trois essences, et on peut déplorer qu’au fil des années on en est fait des critères à cocher. Pourtant ces trois qualités qui ne sont pas que féminines, disons-le au passage, sont en lien étroit avec notre connexion intime et individuelle. Alors si vous voulez être, ou garder votre pleine féminité avec votre partenaire, cela va impliquer entre autre de vous reconnecter à vous mais aussi de communiquer avec votre compagnon quelques bases essentielles de votre féminité. Très rapidement, vous allez donc voir si votre compagnon est fait pour vivre ce voyage de l’amour au féminin. Il ne s’agit pas d’éliminer tout le masculin et prendre le dessus. C’est une question d’équilibre entre les deux énergies. Comme c’est violent de faire l’amour alors qu’on n’en a pas envie, comme c’est dur de jouer un rôle de canon de beauté alors qu’on aimerait être dans sa grotte ce soir-là, toute seule emmitouflée dans son pyjama tout doux. Être belle, sensuelle et sexuelle, comment faire en sorte de ne pas se perdre dans ces trois rôles et rester unique pour notre partenaire ? La suite via ce lien
Il y a des hommes qui résonnent avec vous. Ils viennent toucher votre cœur et vous savez alors que c’est le début de l’amour. Ils n’ont pas le physique des magazines, ils n’ont pas le visage matelassé ou lisse de la télé. Ils sont l’apparence amoureuse et on n’a qu’une envie les aimer de tout notre cœur. Ils sont rocs sensibles et à eux tous seuls, ils vous emmènent dans les contrées de l’amour en toute confidence et confiance. A toi, mon roc sensible, je déclare mon amour. A vous, hommes rocs sensibles, recevez ces mots pour continuer votre chemin de l’amour avec celle ou celui que vous aimez. Hier, tu me disais que tu te demandais bien ce que je pouvais te trouver. Avec toi, l’apparence est amoureuse. Rien ne sert de te cacher ou d’observer ce que tu qualifieras de défauts, ce miroir là c’est le tien, je l’accueille mais ce n’est pas le mien. Lorsque je te regarde, je vois tout ce que tu es. Extérieur comme intérieur. Et j’en suis tombée amoureuse. La suite via ce lien.
5 conseils pour devenir un égoïste constructif L’égoïsme est classé dans la catégorie des défauts. Il fait peur, il repousse. Il a donc toutes les connotations négatives qui nous font l’annuler souvent pour éviter qu’on nous juge d’égoïste voir d’égocentriste. J’ai moi-même été longtemps à dénigrer ces personnes que je jugeais personnelles et sans état d’âme envers et pour l’autre. Je me refusais alors d’être égoïste et de faire des choix uniquement tournés vers mon intérêt personnel dans beaucoup de situations tant professionnelles que personnelles. J’étais donc dans la tendance complètement inverse à savoir donner à ma vie une identité de sacrifice pour m’oublier intégralement. Au fil de mon travail sur moi-même, j’ai vite compris que l’égoïsme a de réelles vertus et qu’il est un levier pour évoluer sur son parcours de vie. Bien évidemment, si on s’en réfère à la définition stricto sensu de l’égoïsme qui désigne un attachement excessif porté à soi-même et à ses propres intérêts sans se préoccuper des autres voir au mépris des attentions des autres, ce mot a de quoi nous faire fuir et pâlir. Pourtant, l’égoïsme revêt des qualités essentielles pour nous permettre d’avancer et d’évoluer. Je parlerai dans cet article d’égoïsme constructif. La suite via ce lien.
Je vous invite à découvrir mes suggestions de lecture sur le thème de l’amour dans ce nouvel article publié sur les mots positifs.
3 principes essentiels pour aimer son partenaire en pleine présence. Quand nous rencontrons un nouvel amour, nous pouvons ressentir parfois un poids de notre passé affectif. Ce passé relié à des anciennes relations amoureuses qui peut être douloureux et réveiller des blessures face auxquelles nous avons essayé de nous échapper ou de guérir mais qui ont fini par nous épuiser intérieurement. Pour cela, il nous revient pour avancer dans la vérité, l’harmonie et la pleine présence avec son nouveau partenaire d’en prendre conscience et de nettoyer ce qui ne nous appartient plus, ou ce que nous ne souhaitons plus, avec bienveillance, pardon et amour. La présence de cette emprise de nos anciennes relations d’amour dans notre cœur peut se montrer sous différentes facettes. Que cette emprise soit malheureusement le résultat de partenaires passés malveillants ou que celle-ci soit tout simplement un poids d’histoires accumulées qui nous ont fait douter sur soi et sur l’amour, il est important d’en parler avec son partenaire de vie et de faire en sorte que cette emprise invisible, marquée au fond de nous soit libérée. Cette libération va alors nous permettre d’être dans la genèse d’une authentique version de l’amour. Quelles sont les apparences de ces emprises qui réapparaissent dans notre cœur au milieu de la relation ? Comment alors s’en libérer et faire de notre amour une présence unique qui appartient aux deux amoureux ? La suite ici via ce lien. Nelly
Mon âme a cherché, mon âme a bousculé, mon âme est tombée et elle a pleuré, crié de tant de choses, de tant de passés, de tant de blessures de l’âme et de toutes ces décisions qui ne sont pas venues avant. De déséquilibres en réajustements continuels, je me suis épuisée et il est temps….d’aller dans cet ailleurs inconnu et qui me ressemble et qui est moi. Alors je vais me mettre sur mon chemin, avancer et atteindre le flow de ma vie. Quand l’âme vous parle avec une nouvelle parole d’amour en plein boum, en plein cœur. Cet amour qui vous remue de bas en haut, de tous les côtés. Ça bouleverse, ça submerge, ça étouffe, ça pleure, ça se libère enfin de se dire qu’on y est et qu’il y a toujours un moment dans sa vie où il faut parfois se dire ça suffit les illusions, ça suffit de croire en telle ou telle chose pour le bien des autres et toi alors ? Et moi alors où j’en suis depuis toutes ces années à vivre le courant sans y être totalement, enfin d’avoir l’impression d’y être un peu, beaucoup de temps en temps. Avoir le cœur qui subit, qui encaisse et puis qui survit en étant dans les apparences de la vie, dans les semblants d’amour, dans les relations éphémères, dans les emprises et puis dans ces couples posés sur des socles familiaux. À lire aussi : L’emprise de nos anciennes relations d’amour. Comment s’en libérer ? 3 principes essentiels pour aimer son partenaire en pleine présence. Dans les apparences d’une joie, d’une liberté qui semble, oui qui pourrait être celle-ci et pourtant. Quand on se prend en pleine tête, en plein cœur, que c’était juste le début du chemin et qu’il faut commencer à zéro. Et si ma liberté c’était à ce moment là sur le chemin où je t’aperçois, tu es encore loin mais je sais que c’est toi. Toi qui es-tu finalement ? Moi, un peu, beaucoup car je ne te connais pas encore complètement libérée et puis il y a toi oui toi, mon amour, mon rêve qui est enfin arrivé. C’est un tout. Et il est temps de sentir son flow grâce à l’amour une nouvelle fois. Cette main que je vois et qui appelle mon âme à s’aimer, à pleurer, à danser, à crier, à rire sous la pluie, à ne plus se taire. A avoir l’audace de dire au revoir à tous ceux qui veulent faire de ta vie ce qu’ils pensent être le mieux. Et si moi aujourd’hui j’en ai assez d’avoir attendu, espéré et que enfin je m’aime pour de vrai, que enfin j’aperçois que c’est tellement mieux d’être accompagnée doucement et de ne plus faire semblant d’aimer comme les autres. Et si mon amour appelait son flow pour de vrai. Oui il y a des moments dans la vie où il vaudrait mieux ne plus rien entendre des autres et juste se laisser l’âme ouverte. Sentir cette brèche ouverte au vent de la vie qui me souffle que ça y’est tu peux foncer, tu peux offrir enfin à ton âme son existence. Il n’y a pas de mots pour décrire la viscéralité du flow dans sa vie. Ça se sent, ça se repose, ça rentre à l’intérieur, ça dépasse la peau, ça s’intègre dans l’âme, ça se parle à tous les éléments de la vie,ça se reconnait dans toutes les flaques des larmes, dans toutes les flaques du désir, dans toutes les flaques de boue et c’est très bien! C’est vivre l’expérience de la vie qui dépasse le concret, c’est signer en soi le présent et intégrer l’initiation merveilleuse que nous dit notre âme depuis tellement de temps. Tu as voulu me parler mon âme et je n’ai rien entendu, j’ai compris des messages, observé les signes, accepté de vivre ces expériences, j’ai appris aussi et puis j’ai accueilli tes messagers que tu m’as envoyés, j’ai essayé de les aimer. Mais là j’entends ton dernier message de liberté, de libération à mon être. Et je sens qu’il est temps de prendre des décisions. Je sens que je peux accomplir ma vérité. Tout s’enchaine désormais. Il y a encore des blocages, il y a encore des freins à mes détachements mais ça y’est j’ai pris la route de mon flow. J’ai pris la décision que c’est moi seule qui peux comprendre, entendre ce qui est bon pour moi. Parler de quête du bonheur, oui j’y crois, j’en rêve et j’ose me dire que mon âme a bien fait de pleurer, que mon âme a bien fait de se sentir fragile, déstabilisée parfois car en fait, je crois que je serai une nouvelle fois tombée pour de vrai ou pour de faux, je ne sais plus mais je me serai encore relevée en me disant que ce n’est pas grave, que la vie continue. Mais aujourd’hui, ma vie continue dans mon flow, dans ce que je vibre enfin, dans ce qui est juste pour moi. Une vraie ouverture, un grand chemin de la vie où je nage, je vole, je cours, je marche, je rampe, j’y vais et c’est très bien même si j’ai encore peur de tomber à côté des rails et qu’il m’arrive de pleurer aussi. C’est mon engagement et mon accomplissement personnel. À lire sur mon site : La pleine confiance, un rendez-vous avec soi Le flow c’est le flux spontané qu’on vibre en soi. On doit le concept du flow au psychologue hongrois Mihály Csíkszentmihályi. Il est apparu dans la psychologie positive dans les années 1970. D’abord pour les sportifs, puis les artistes et maintenant dans l’accompagnement des personnes qui aspirent à leur quête du bonheur. Comment atteindre le flow de sa vie ? 5 repères : Être dans le présent. Être concentré et engagé dans ses actes. Se connecter à sa pleine conscience (esprit, corps, âme) en libération. Être motivé par ce que vous réalisez. Donner du sens à ce que vous faîtes (pourquoi ? vers qui, vers quoi ? ) Alors il ne sera pas toujours évident d’atteindre ce flow quand on
La confiance en soi et en l’autre se trouve sur une corde sensible. Et quand il s’agit d’amour c’est encore plus délicat. Vous savez cette délicatesse qu’on ressent dans l’infinie caresse qu’on aime rêver ou réaliser dans l’amour. Que ce soit sur notre enfant pour un contact rassurant et essentiel pour les corps. Mais aussi dans cette rencontre des corps entre partenaires, en peau à peau que nous cherchons tous à retrouver adulte à un moment. La relation d’amour dialogue avec la confiance. Que ce dialogue soit rempli de mots pour se comprendre ou devienne un silence entendu par les coeurs, celui -ci est primordial pour rêver ensemble d’amour.Et une nouvelle fois, cette relation d’amour est autant valable pour son lien avec ses proches, enfants, famille, amis que pour ses rencontres de la vie. Trouver la corde sensible de la relation pour être présent à soi et à l’autre. C’est un enjeu fondamental pour l’amour, pour l’homme, pour la femme, pour le jeune.Pourtant, ce n’est pas facile de sentir cette corde délicate et gracieuse dans le lien.Pourquoi la confiance dans l’amour est-elle si vulnérable? Parce que la confiance est tout simplement vivante et qu’elle fait partie intégrante de notre être.Extrait de mon livre ” Les 7 rêves de l’amour, un voyage en pleine confiance du coeur.“Avec tout mon coeur.Nelly
Quitter une situation qui nous est chère, c’est aussi dire au revoir à quelqu’un qu’on aime encore ou qu’on a tellement aimé au plus profond de soi. Il arrive alors que l’on frissonne à certains moments de sa vie, qu’on aie le vertige et qu’on aie envie de pleurer car on ne sait pas où on en est. La tristesse n’a pas forcément de coupable. Elle arrive au corps de son être et elle dialogue avec nous pour nous ouvrir les yeux à ce qui doit partir même quand l’amour est là encore. Quitter une situation qui nous est chère est une décision douloureuse C’est le coeur en tristesse et en solitude que les petites morts de notre vie arrivent. Et c’est là que viennent les décisions les plus bouleversantes aux repères qu’on avait tellement l’habitude d’avoir. Ça vient bouleverser tous les moments inscrits au temps, tous les sourires par évidence, tous les projets qui se dessinaient.Quitter une situation qui nous est chère est une décision douloureuse qui pourtant peut s’avérer nécessaire.Il arrive que dans votre vie vous êtes tellement attachés au bonheur des autres et du cocon que vous créez dans votre famille que vous oubliez. Oui vous oubliez ce qui est. Au fil du temps cela devient des situations qui nous sont essentielles, qui semblent répondre au profond équilibre de votre vie. L’amour se faufile entre les interstices du quotidien et des extraordinaires émotions que les enfants peuvent vous procurer. Et puis un jour, il y a cette petite mort qui se fait sentir. Une odeur qu’on n’ a pas l’habitude de sentir, une odeur qui laisse un goût étrange dans le coeur. On se dit que c’est un nuage. Que ce nuage est de passage, alors la situation qui nous est chère continue son installation et on s’invente des repères nouveaux, on vit très bien l’apparence quand on aime la personne avec qui on est , quand on voit ses enfants heureux, épanouis dans une maison où tout résonne dans leurs chants et leurs mouvements. Et puis la petite mort vient cette fois-ci souffler au creux de mon cou. Cette fois-ci j’ai eu froid, je ne vous le cache pas. J’ai eu le sentiment que cette parole évanescente avait certainement dû côtoyer avec les inconnus de ceux qui me regardent vivre de je ne sais où.J’ai eu froid et j’ai fini par me mettre des foulards autour du cou. Quitter une situation qui nous est chère, c’est aussi retrouver sa voie. J’avais toujours froid et j’en ai perdu ma voix. Oui j’en ai perdu ma voix jusqu’à finalement comprendre que j’avais perdu ma voie, mon chemin.Alors vous savez quand on se couvre le cou de peur que cette petite mort revienne vous souffler dans le cou, on commence à partir, à s’évanouir au fond de soi. On commence à réunir ses mains vers son coeur et à éprouver le besoin d’entendre ce que cette petite mort veut nous dire.Je n’ai pas tout compris tout de suite car une situation chère est remplie d’amour. On s’aime au travers de l’amour que l’on porte aux autres. Et ça nous va si bien les situations chères. On aime cet amour encore dans notre coeur et ça nous comble. Et si ce souffle venait me dire que l’amour revient à mon propre souvenir de l’amour de soi car je l’ai perdu pour les autres. Mon coeur a toujours aimé profondément les êtres auprès de moi. J’ai semé des bouts de mon coeur dans chacune de mes relations avec beaucoup de sincérité. Que ce soit enfants ou compagnon, la place à l’amour existe au plus profond de l’âme. Dire au revoir à la situation qui nous est chère Mais il y a cette fois de trop où j’en ai eu assez de porter des foulards où j’en ai eu marre de ne pas parler, où j’ai dit à la petite mort qu’as-tu à me dire finalement. Et c’est là que j’ai pris conscience qu’il fallait partir. Qu’il fallait tout simplement revenir à ce qui est. Et qu’est-ce que le verbe être.Alors j’ai quitté une situation qui m’est chère et encore aujourd’hui le vertige me prend car quand on meurt de petites morts, il faut apprendre à renaître. Et quand on accouche au monde, il n’y a que votre souffle qui vous tiendra en vie coûte que coûte. Quand on quitte une situation chère à son coeur, on ne quitte pas des personnes pour ne plus les aimer car l’amour dans notre coeur a son existence; cependant on quitte son être au travers de cet environnement qui n’est plus le vôtre. On laisse un amour en abandon qui ne nous correspond plus. A lire: Le coeur n’aime pas la solitude Pouvoir regarder son intériorité et se dire qu’il y avait besoin de laisser mourir tant de choses, tant de brûlures, de blessures émotionnelles au corps et au coeur. Ces sensations de ne plus pouvoir revenir en arrière, ces sentiments de ne plus rien tenir, posséder et se retrouver démunie de tout. Alors je décide d’accueillir ces petites morts et quitter cette situation qui m’est chère Je ne demande pas à ce qu’on le comprenne ma décision car les petites morts ne tuent pas les autres. C’est à vous de les gérer. Oui, elles peuvent faire souffrir d’autres personnes, elles touchent la vie de celui qui sent l’odeur et le souffle de la petite mort, mais aussi la vie de ceux qui font partie de ces situations chères. Alors c’est à ce moment-là que vous vous sentirez seul, infiniment seule car peu de personnes comprendront votre décision. On y cherchera toutes les explications possibles, toutes les raisons possibles. On vous verra comme une égoïste, une irresponsable. On ne vous reconnaîtra plus. On ne vous comprendra plus, on vous jugera aussi. A lire: Comment être résilient face aux jugements des autres. Pour peu que vous renaissiez dans une autre forme d’amour et là c’est le tremblement de toutes les âmes autour de vous qui font partie
La résilience c’est cette capacité positive à surmonter les obstacles afin que ces derniers ne deviennent pas une issue négative. Derrière ce concept largement médiatisé se cache toute la force du pouvoir humain. La résilience a tout d’abord été relevée chez les enfants. Boris Cyrulnik dans son livre « un merveilleux malheur » nous fait prendre conscience que les enfants sont les premiers initiateurs de cette résilience. Ils sont capables de conjurer, triompher de traumatismes importants pour se faire une vie d’homme. Découvrez la suite du texte via ce lien Comment alors passer du cœur blessé au cœur guéri et faire de la résilience une ressource de vie essentielle ?
Quand les gestes d’amour deviennent un automatisme et que vous sentez au fur et à mesure que votre relation avec votre partenaire devient sans âme, il revient une question troublante : dois-je me séparer de la personne en partant ou dois-je rester en trouvant une solution pour renouer avec des actes amoureux ? Les gestes d’amour qui n’en sont plus, ce sont ceux qui ne vous effleurent plus quand vous vous endormez, ce sont ceux qui ont disparu au réveil, ce sont ceux qui sont déposés du bout des lèvres avec peine et qui s’évanouissent par terre. Ce sont ceux qui vous pincent le cœur parce que plus rien ne passe. Comment faire alors quand vous avez ce sentiment de ne plus vivre les démonstrations d’amour les plus importantes dans un quotidien ? Partir ou rester n’est pas un choix facile. Dans ce nouvel article, je vais vous accompagner au travers de ce moment difficile de vie dans un couple en vous apportant quelques prises de conscience pour éviter de tomber dans ce douloureux constat de gestes d’amour disparus dans la relation et vous aider à répondre à cette question : Partir ou rester ? L’importance du contact entre soi et l’autre. Au début d’une relation, nous sommes toujours dans cette attirance tactile sans limite. On est collés, on a besoin de sentir le corps de l’autre sans cesse. C’est la découverte et le corps aime la nouveauté. Il entre dans une énergie partagée et cela va remplir les besoins perdus. Puis parfois après un certain temps, on en revient à notre propre corps. Il peut donc nous arriver de ne plus avoir envie de sentir l’autre aussi proche et certains gestes peuvent devenir même insupportables. Pourquoi en arrive t’on là ? Parce que tout simplement durant tout ces moments de contact intense avec son partenaire, on en a oublié le plus important à savoir que notre corps nous appartient. Il est donc essentiel même au début d’une relation d’entretenir son propre contact avec son corps. Il faut continuer à rester en lien avec sa propre peau, ses propres besoins intimes auxquels nous avons l’habitude de répondre. Pour cela, dans votre relation d’amour, penser à vous auto masser à des endroits que vous aimez, caressez-vous seul.e en ayant la volonté de vous donner de la douceur, de l’amour. Ainsi, les rapprochements tactiles avec notre partenaire resteront dans une découverte essentielle à savoir d’offrir à son corps le toucher d’autres mains sur soi. Soyez créatif dans les gestes d’amour L’habitude de certains gestes rassurent mais ils peuvent en effet perdre le goût essentiel de l’amour, la saveur douce de la connexion relationnelle avec son partenaire. Alors variez également ces touchers avec votre amour. Partagez des moments différents de contacts, changez vos gestes d’amour. La douceur est multiple dans un couple. Et il y a différentes façons de se connecter en corps à corps. Faire de l’étreinte du matin, un geste d’amour au fil du temps est tout à fait possible. Racontez -lui une histoire le matin, dîtes lui un mot d’amour accompagné de ce geste. À lire aussi : Le rêve de l’amour et la connexion relationnelle à la vie La bascule des gestes sans âme Les gestes d’amour qui n’en sont plus, peuvent aussi amener la tristesse, l’enfermement réciproque et cela devient alors un cercle vicieux. On finit par subir ces gestes, on finit même par accepter cette composition humaine qui devient impersonnelle. On ne se reconnaît plus. On ne se regarde plus. On ne se sent plus. Et c’est là qu’on se perd personnellement et amoureusement. Et que le mot séparation fait son apparition dans notre cœur. La spirale des questionnements va commencer. On se sabote soi-même à chaque instant. On répond à ce geste d’amour qui n’en est plus un par un manque d’amour. À lire sur mon site web : Quitter une situation qui nous est chère Puis s’installe alors tous les actes manqués pour se dire je t’aime en caresses, en regards, en tendresses, en folies. La tristesse s’installe et on cherche un coupable. Alors il faut arriver à s’en sortir, se sauver de ce manque d’amour, de ces sentiments apparents. Un geste d’amour ne trompe pas. Un geste d’amour ne se joue pas dans la vie. Il est important. Il est reliance à l’autre. On se raconte notre histoire dans un geste. On est conscient de l’un et de l’autre et de ce qu’on lui offre. Alors partir ou rester ? Quel choix faire quand le cœur , le geste nous parlent de séparation? Le geste d’amour est vivant. Un geste d’amour peut s’éteindre, disparaître mais il peut aussi revenir car il est vivant. Les corps ont besoin de communiquer entre eux. Même si vous décidez de partir car parfois on ne peut plus toucher l’autre. Les corps ne se reconnaissent plus, ne se veulent plus, ne se parlent plus. Il y a tout de même besoin de dire pardon à ces gestes d’amour qu’on s’est donné à moitié. Il est bon de se dire encore que les gestes d’amour passés étaient merveilleux. Et il est important de prendre conscience que nos gestes d’amour ne sont plus destinés à cette personne. Et puis pour ceux qui choisiront de rester alors il faut continuer à aimer son corps, à aimer le corps de l’autre, à trouver les nouveautés essentielles au contact. Renouer avec les gestes d’amour c’est sauver son amour coûte que coûte. Je ne pourrais pas vivre avec quelqu’un si je n’avais pas ce contact d’amour quotidien. Je ne pourrai pas dire je t’aime à mon partenaire de vie sans lui prendre parfois ses mains, son cou, me mettre devant lui, lui tendre mon front, lui déposer un baiser sur ses lèvres. Alors quand les gestes d’amour n’en sont plus, qu’on s’approche de la séparation ou l’inverse qu’on tend les mains vers une transformation du couple, il convient de sentir au fond de soi quel lien se cache derrière ces gestes d’amour pour répondre à la question ? Est-ce que ces gestes d’amour sont ceux d’un couple sur
L’amour c’est une question de vie. Il m’est arrivée tant de fois de ne pas savoir quelle direction prendre, de douter de moi, de me dire que si je fais telle ou telle chose, on dira quoi de moi. Toujours se regarder devant, derrière, sur les côtés avec les yeux des autres. La peur de ne plus être aimée, la peur d’être seule, la peur finalement de moi-même. La peur du jugement. A lire sur mon blog: On ne doit pas juger quelqu’un au premier regard. Aujourd’hui, je marche sur mon chemin que je n’ai finalement pas quitté. J’ai juste mis mes pieds à terre avec plus d’ancrage, d’alignement et de confiance en moi et en mon coeur. J’y ai laissé beaucoup de bouts de mon coeur, c’est vrai. Mais je ne regrette rien finalement. S’il reste quelques regrets ce sont ceux de ne pas avoir réussi à m’aimer plus tôt pour qui je suis avec mes trous, mes manques, mes blessures, mes joies, mes élans. Tout et c’est tout. Dans mon livre ” Les 7 rêves de l’amour”, je raconte l’histoire de la fleur de lune, cette fleur qui vit entre ombre et lumière. Bien sûr que nous sommes tous des femmes et des hommes d’ombre et de lumière. Comment ne pas voir ce qui nous emmène au plus profond de nous et nous surprend, comment ne pas sentir ce qui est extérieur et qui brille dans l’éclat? J’avoue que ce chemin me fait boiter parfois, j’avoue que parfois j’en ai même assez de ne pas savoir quoi faire. Et puis il y a une fois, certainement la fois de trop où l’âme dit stop. Très souvent, ce sont des personnes qui m’ont épuisée de trop d’amour, ou de peu d’amour.Je ne sais pas si c’est le dosage ou si c’est juste que l’amour n’était pas encore sur ma corde sensible, celle qui me fait vibrer aujourd’hui. Je suis devenue maman à 30 ans et mes deux accouchements ont été différents l’un et l’autre. J’ai été à chaque fois accompagnée par les deux papas avec beaucoup d’amour. Mais ce n’est pas ça qui m’a fait mettre au monde. J’ai accouché ma propre féminité, ma nudité de l’âme, ma vie, nos vies et c’est des années après que je me suis rendue compte que seul mon amour pour moi a réussi à donner la vie. L’élan de transmettre, l’élan de vivre, l’élan d’aimer, l’élan d’être. Donner la vie pour se dire à soi que l’amour c’est une question de vie. Être maman est merveilleux. A lire: L’amour maternel est sans limite. Quand il faut choisir un nouveau virage dans sa vie. A présent, je suis à un tournant de l’amour. Réaliser, ou accepter que l’amour oui c’est une question de vie et ce n’est certainement pas une question de survie. Alors, je vais prendre ce chemin. Je décide de m’unir à ma vie. Je décide d’aller complètement sur mon chemin d’amour quitte à y laisser des traînes, des cailloux, des fleurs ou des sentiments, des personnes mais j’y vais. L’amour c’est une question de vie et c’est très bien de pouvoir y dire OUI. Il faut accepter, il faut aussi savoir renoncer à des choses et puis grandir. Apprendre chaque jour de notre propre résilience n’est pas is facile mais lorsque vous prenez ce virage de la vie et que vous savez que tout l’amour en vous c’est vital alors vous ne vous retournerez plus et vous saurez quoi dire à la vie. Vous sentirez comment vous affirmer dans votre plus belle amplitude. Si vous voulez construire votre amour de soi, procurez-vous mon livre! Les 7 rêves de l’amour, un voyage en pleine confiance du coeur.
C’est le titre de mon nouveau ROMAN FICTION qui participe au concours roman bien-être organisé par Librinova.Vous pouvez le découvrir sur la plateforme de l’éditeur et voter en likant. Synopsis: Jade est une auteure spécialisée dans la résilience. Alors qu’elle est en pleine ascension, elle participe à une émission ” Et si rien n’était écrit.” Là tout bascule, souvenirs, personnages. Qui est Jade? Comment les coïncidences de la vie ont-elles influencé son parcours de vie? Découvrez ici cette nouvelle histoire imaginée.