Chacun porte son monde dans son cœur comme un trésor à protéger. Chacun porte son monde dans son cœur comme un secret à partager avec ceux qu’on aime. Ne laissez personne entrer dans votre vie, dans votre cœur sauf si elle vient avec amour. Car nous cherchons à garder ce monde au chaud, au silence pour qu’il ne soit pas éteint, pour qu’il ne soit pas critiqué par tous ceux qui n’entendent pas nos battements de vie. Chacun porte son monde dans son cœur comme tout ce qui nous tient à cœur, tout ce que nous aimons, tout ce qui nous fait vibrer, tout ce que nous sommes prêts à donner à ceux qu’on aime. Ce monde à l’intérieur qui nous fait vivre et qui est si intime et si profond comme ce creuset de l’âme. Ce creuset de notre âme que nous entendons, que nous cherchons de plus en plus à connaître pour ouvrir la porte du bonheur. Notre cœur est une immensité à lui tout seul. Il peut à la fois être accessible et en même temps tellement étranger lorsque nous l’oublions. Mais lorsque l’on porte son monde dans son cœur, il arrive que tout soit un peu lourd à supporter, à garder. Ce monde qui nous apporte tant de bonheur et parfois tant de tristesses. Ce monde que nous portons dans notre cœur est la sensibilité même de notre douceur, de nos peurs, de nos espoirs, de nos amours et de nos séparations. C’est tout un monde qui nous enivre et avec lequel nous essayons aussi de survivre quand il a mal, quand on l’a brisé. Mais rien n’empêche le cœur de battre, de continuer. Il n’est finalement jamais vraiment seul. Car chacun porte son monde dans son cœur comme des relations authentiques qui l’ont nourri, abreuvé d’amour. Nous portons ce monde alors avec passion, avec joie, avec faiblesse aussi et parfois avec tant de douleurs. Notre coeur, ce monde qui est à nous Notre coeur nous appartient chaudement au creux de nous-même. Il ne servira à rien alors de nous faire du mal et de ne pas prendre toutes les valises nécessaires pour parcourir ce monde intérieur. Car le cœur saura nous rappeler et nous dire qu’il existe un endroit dans ce monde intime dont il faut prendre soin pour ne pas succomber, pour ne pas suffoquer. Pour ne pas manquer d’air. Car notre monde intime a besoin d’oxygène pour vivre. Alors ne le laissez pas trop longtemps seul. Il a besoin des autres, il a besoin de tendre la main et de prendre celle-ci aussi pour croire en une nouvelle version de l’amour. A lire: Les 7 rêves de l’amour, un voyage en pleine confiance du coeur. Chacun porte son monde dans son coeur comme une découverte à soi et aux autres. Chacun porte son monde dans son cœur tel un petit globe que vous tournerez au gré de vos choix de voyages et de rencontres, tel un petit animal dont vous prenez soin avec tendresse, avec délicatesse. Chacun porte son monde dans son cœur et vous l’entendez très souvent au milieu de la foule ou assis seul sur un banc quand le temps s’arrête pour vous dans une extrême fatigue. Chacun porte son monde comme une découverte à soi et aux autres. Le coeur est relationnel dans son vivant. Il ressent ce que les autres lui envoient, lui donnent et en réciprocité, vous offrirez aussi votre monde lorsque vous aurez confiance. Porter son monde dans son coeur, c’est nourrir l’amour. Vous portez ce monde avec les yeux mi-clos pour laisser passer la lumière nécessaire à son existence. Lorsqu’on porte son monde intime, on entend tout ce qui ne se dit pas, tout ce qui pourrait se crier devant les autres, tout ce qui s’infiltre malgré nous, malgré eux. Un cœur porte tant de choses qu’on n’ose pas dire. Un cœur porte tant de silences non avoués, un cœur porte tous les espoirs et les désirs à accomplir. Porter son monde dans son coeur, c’est nourrir l’amour. Nourrir la tendresse, nourrir l’amour dans son cœur font de ce monde à porter une porte ouverte à la vie mystérieuse qui nous élève vers notre accomplissement personnel. Chacun porte son monde dans son cœur comme une délicate traversée vers laquelle tant d’imprévus et de ricochets nous font parfois tomber mais nous font aussi apprendre qui nous sommes. Chacun porte son monde dans son cœur comme une profondeur de son amour propre. Son amour de soi avec lequel nous marchons main dans la main pour aller en toute confiance vers l’inconnu. Chacun porte son monde dans son cœur comme une prière d’amour personnelle. A lire: Cette prière d’amour Porter son monde dans son coeur c’est écrire son histoire Chacun porte son monde dans son cœur comme un journal intime que vous écrirez tout au long de votre vie. Vous écrirez votre histoire car vous celle-ci ne ressemblera à aucune autre. L’écriture comme un guide de notre solitude du cœur, comme une intime auto-guérison pour que notre monde intérieur existe dans sa splendeur, dans son immensité merveilleuse. Car le coeur n’aime pas la solitude. N’ayez pas peur de porter votre monde dans votre cœur car il est le seul qui sait où vos pas pourront se poser. Chacun porte son monde dans son cœur et c’est tellement beau de croire encore que face au monde je suis unique et que je ne ressemble à personne d’autre. Je suis une personne magique qu’on a envie de rencontrer. Et c’est souvent lorsque l’on a conscience que l’on porte son monde dans son cœur que les rencontres nous effleurent et nous font frissonner dans l’amour tel un câlin. A lire: Les câlins d’amour et sensuels. Si vous voulez aller plus loin dans l’écriture pour soulager votre coeur, exprimer tout ce que votre coeur ressent, découvrez mes ateliers d’écriture.
Combien de fois je ne me suis pas aimée. Combien de fois j’ai culpabilisé en m’écoutant. Combien de fois j’ai eu peur d’avoir dit ou fait cela. Combien de fois mon cœur s’est mis en souffrance parce que je craignais la réaction des autres. Combien de fois je n’ai pas dit stop. Combien de fois j’ai dit non et je m’en suis voulu. Oui notre intuition est parfois une véritable confrontation avec nous-même. Nous nous détestons plus que nous nous aimons dans notre vie. C’est une triste réalité. Nous nous jugeons tellement. Notre émotion au bord des lèvres est souvent une douleur que nous enfermons au fond de nous-même. Nous perdons souvent notre propre sincérité face aux autres. Nous manquons de confiance et nous perdons notre véritable identité en prenant sans cesse sur nous. Nous nous effaçons et nous perdons notre amour propre. Cette estime de soi qui pourtant est le cœur de notre vie. Qui peut nous aimer mieux que nous-même ? Qui peut savoir ce qui est bon pour nous ? Et puis un jour, nous ressentons une petite mort, un arrêt sur image dans notre vie. On regarde les autres comme de véritables étrangers et on se retrouve seul.e C’est le plus beau cadeau qu’il soit pour enfin se vivre de l’intérieur. Retrouver sa valeur, il n’y a rien de plus vrai. Personne ne peut prendre votre place, personne ne peut parler à la place de votre cœur. Cette voix unique qui vous appartient. Personne ne peut parler plus fort que votre âme. Personne ne peut tuer qui vous êtes ! C’est donc le cœur battant, le cœur à fond que vous reviendrez plus forte, plus déterminée que jamais. Les autres continueront encore et encore à essayer de vous détourner de votre source, de votre feu intérieur qui est plus incandescent que tous les feux extérieurs. Restez dans votre magie, ouvrez votre cœur sans le cacher et revenez en vie ! Je sais combien il est difficile de se faire notre place. Je sais combien notre magie personnelle peut manquer d’éclat quand d’autres veulent se faire les propres magiciens de notre vie. Mais rien ni personne ne peut nous atteindre quand nous prenons la meilleure décision qui sera pour nous et c’est tout. Soyons différent des autres et tant pis. Soyons magique et c’est bien ! Sortons de ce monde qui ne se ressemble que trop et qui agit parfois pour un faux-semblant. Revenons à notre identité atypique. Respirons l’essence de notre intuition ! Et soyons avant tout un créateur, une créatrice pour nous et le monde qui saura venir à nous d’une façon ou d’une autre. Car les personnes magiques sont inestimables et attirantes. Ne laissez entrer personne dans votre vie sauf si elle vient avec amour. Ne laissez personne vous frôler sauf si elle veut vous caresser. Notre destin nous appartient. Il est parfois tellement honteux de se laisser juger par les autres. On s’écœure d’avoir laissé tant de mauvais mots se dire sur nous envers et contre nous. Mais cette sève ne peut couler en vous une fois que vous êtes en amour avec vous-même. Il n’existe qu’une sève d’amour celle de votre sang, celle de votre existence. C’est qui vous aidera à la reconstruction de soi. Comment faire quand on ne s’aime pas ? Voici 20 actions positives. 1.Affirmez votre identité pour vous accomplir. 2.Pardonnez-vous tout ce que vous avez fait et subi. 3.Pardonnez aussi aux autres pour vous libérer. Le chemin se libère ainsi dans le détachement des emprises diverses. 4.Entourez-vous de ceux qui vous aiment et qui ont vu que vous êtes si heureux avec le cœur battant à l’amour. 5.Ecrivez votre histoire car vous êtes unique. 6. Battez-vous pour vos convictions. 7. Ne cessez jamais de rêver. 8. Souriez. 9. Soyez humble avec vous-même. 10. N’attendez rien des autres. 11. Prenez soin de vous. 12. Partez quand il est encore temps. 13. Marchez, dansez, chantez, écrivez, méditez, aimez ! 14.Soyez solitaire et relationnel. 15.Applaudissez quand ça vous plait. 16. Pleurez quand vous en avez besoin. 17. Lisez, regardez des histoires inspirantes et positives ! 18. Caressez ceux que vous aimez. 19. Dîtes je t’aime à ceux que vous aimez. 20. Dîtes vous je t’aime aussi. Le cœur sait, le cœur sent et cet amour est le plus conscient, le plus présent qu’il soit !
J’ai cherché à rendre la vie plus agréable aux autres. Parce que c’était mieux pour moi. Cela m’a permise de me cacher, cela m’a empêchée d’être dans les conflits. Je me suis camouflée dans les mots des autres, dans les bras de mes relations pour un jour me rendre compte que je n’étais pas moi. Que je n’étais pas authentique. Que j’aurais pu dire ce que je pensais, mais je n’y suis pas arrivée et j’ai continué à me mentir. Et très souvent alors, je me suis tue. J’ai troublé ma vérité et j’ai montré une drôle de femme. Les faux-départs de la vie J’ai tenté maintes et maintes fois de me sauver de ces moments où je me suis sentie tellement à moitié, tellement prisonnière des autres. Les faux-départs de la vie où j’ai cru que j’avançais mais finalement non. Ces esquisses au pinceau qu’on ne termine jamais. Ces frôlements avec son âme qui nous chuchote tant de messages à notre coeur et que nous n’entendons qu’à moitié ou pas du tout. Les faux-départs de la vie sont fatigants. Ils nous font du mal et nous retirent de notre élan de vie. Jusqu’à ne plus savoir comment agir, jusqu’à ne plus supporter d’être avec les autres, à ne plus pouvoir les écouter, à les regarder faire et c’est tout. Et puis se rendre compte qu’on est personne finalement. J’ai cherché à savoir qui j’étais J’ai cherché savoir qui j’étais et puis j’ai trouvé qu’on est très souvent un miroir des autres, que le reflet que vous voyez n’est pas le vôtre. Vous vous trouvez belle, moche, ironique, joueuse, le masque terrible d’une mascarade où votre vrai visage n’est pas encore apparu. Et à ce moment-là quand ça frappe en vous tellement fort en plein coeur, vous décidez de mettre un coup de poing dans le miroir. Vous le cassez. Vous brisez tout, vous changez tout, vous vous choisissez. Il est temps de couper ce cordon qui vous relie au monde, ce cordon de l’existence dépendante aux autres personnes. Vous osez vous regarder entièrement et vous devenez quelqu’un. Vous devenez cette personne plus authentique même si les seules choses qu’on vous dira c’est qu’on ne vous reconnait pas. On ne reconnaît plus cette femme qui se taisait, cette femme effacée qui se faisait belle pour les autres, qui se faisait gentille pour ne pas blesser. Et c’est à ce moment précis où on vieillit, où on quitte l’environnement connu, où on coupe ce cordon ombilical avec les idées des autres, avec leurs images de la vie, avec les pensées qu’ils ont de vous. Vous décidez alors de respirer vraiment tout seul sans autre besoin d’appartenance. Comme un bébé qui quitte sa maman, à qui on coupe le cordon de dépendance vitale. Vous quitterez alors des situations qui vous sont chères. Combien sommes-nous à exister selon les autres, à vivre dans le souffle de l’altérité, à respirer dans l’inspiration et l’expiration de notre environnement sans même connaître son souffle intérieur? Se trouver enfin Ce souffle de solitude où plus rien n’est là, juste nous en face-à-face. Et alors on réapprend à respirer, à se trouver enfin. C’est vrai que les autres, avant la coupure du cordon, nous ont appris tant. Rien n’est inutile, tout est connaissance, tout est épreuve, tout est apprentissage. Et ensuite, il est l’heure de les quitter, il est l’heure de ne plus s’occuper des autres. Il est temps de ne plus rendre leur vie plus agréable. On est prêt et c’est parti. Devenir entière, une parfaite fugueuse de la vie pour enfin exister. Devenir sa propre version bienveillante avec soi-même. Sa version sincère et véritable. Être enfin sincère avec son reflet et accepter tout ce que j’ai été, tout ce que je suis, et tout ce que je serai pour enfin laisser les autres s’occuper de leur vie et rendre la mienne agréable. Se trouver et vivre car chacun porte son coeur dans son monde, car chacun trouve sa guérison. Moi je la trouve dans l’amour qui guérit, dans le lien, dans la puissance de la relation. Je la vibre dans mon écriture, je la dévoile dans ce que je sais faire de mieux. Et je m’ouvre à une nouvelle version de moi-même à chaque fois. Nelly
Article original écrit pour le site www.lesmotspositifs.com La réconciliation est un pardon authentique. Cette sincérité vient toucher profondément notre relation que nous entretenons tant avec nous-même qu’avec les autres et le monde extérieur. La réconciliation implique donc d’aller au cœur de nous-même avant tout et d’envisager le pardon envers l’autre aussi. La réconciliation vient réveiller notre globalité humaine tant dans son ombre que dans sa lumière. L’acte d’amour qui se crée au travers de la réconciliation est une force dont on ne devrait pas se passer dans les épreuves de notre vie. Réconcilier vient du latin « reconciliare » qui veut dire remettre en état, rétablir. On sent alors toutes les fêlures, les cassures qui ont mené à cette réparation. Pour illustrer cette caractéristique de la réconciliation, l’art du Kintsugi en est un bon exemple. Dans son livre le kintsugi, l’art de la résilience, Céline Santini décrit cet art japonais qui consiste à réparer les objets brisés en mettant de l’or. Cette technique redonne alors une deuxième vie aux objets. Dans cette délicate transformation, il y a la métaphore de l’amour au travers de l’or qui se crée son chemin pour redonner une existence à ce qui fut brisé, blessé dans l’âme. Remplir, embellir les cassures par des jointures d’or est un geste d’amour déposé sur ce qui a eu mal, sur ce qui fut détruit tout en découvrant, tout en assumant cette nouvelle image de soi. Au travers de cette définition et de cet art, on perçoit la dimension d’une restauration, d’une reconstruction bordée d’amour dont chacun a besoin pour passer d’un cœur blessé à un cœur guéri. On pousse notre responsabilité de guérison jusqu’à la réconciliation de soi avec son être profond, en caressant son âme. On ose aller plus loin dans la puissance de la réconciliation qui devient alors un acte de guérison puissant qui nous aidera à dépasser nos difficultés de la vie. C’est une résilience aux multiples visages car derrière ce pardon à soi se cache toute notre profondeur et notre force à regarder la vie non plus comme des épreuves mais comme un chemin d’existence que nous seuls pouvons traverser dans la sincérité, la tendresse ou pas. Des séparations à la réconciliation Nous vivons tous de nombreux deuils d’amour dans notre vie qui se caractérisent par des séparations d’amour. Qu’elles soient amicales, familiales ou sentimentales, elles peuvent nous bouleverser, nous retourner l’âme et créer des blessures dont on a du mal à se remettre. Très souvent c’est alors la spirale aux tourments qui commence. Les remords, les regrets, les souvenirs, les doutes, les inquiétudes, les peurs, les jugements sont autant de troubles qui nous encombrent le corps et l’âme. On se juge et on se laisse également jugé par les autres. On s’accuse de beaucoup de choses. La culpabilité nous envahit et s’installe. Elle revient à notre porte alors que nous l’avions laissé enfouie en nous lors de notre enfance. C’est la blessure de la honte qui revient adulte. Et une fois que nous entamons ce tribunal à soi, il est souvent difficile de s’en sortir si nous ne prenons pas la mesure de notre responsabilité. Cette responsabilité va nécessairement passer par une prise de conscience. Quand on a honte de quelque chose, soit on reste dans la honte à soi soit on cherche le pardon. C’est un choix simple en apparence qui laisse planer une évidence. Pourtant soit nous irons vers une décision authentique en étant dans une relation sincère avec soi et avec les autres, soit nous resterons des clandestins de notre vie derrière le masque de la honte. Nous ferons du mal ou nous nous ferons du mal sans conscience véritable. Carl Gustav Jung parle de « la psychologie des profondeurs » en expliquant que si quelqu’un nous a fait mal, est-ce que son intention était vraiment de nous blesser ? Les hommes sont adeptes de cette mascarade, de se cacher derrière des intentions purement intimes mais qui ne seront ni explicites pour la personne qui subira ou partagera cette situation ni claires pour nous-mêmes. C’est une blessure que nous créons envers nous-même ou envers l’autre pour la plupart du temps de façon inconsciente. C’est pour cela qu’il est si difficile de revenir à notre responsabilité de relation authentique avec soi. Nous nous persuadons sans cesse de notre honnêteté dans un choix, pourtant nous sommes des menteurs qui ne regardons pas nos écarts, nos manquements, nos ratages, nos ombres de la vie. Alors quand il s’agit de quitter cette zone et revenir à une humilité de soi, tout un chemin d’apprentissage est nécessaire. Accepter nos agissements et notre façon d’être dans le monde revient à donner une place à notre globalité humaine quitte à en pleurer parfois, à en douter, à haïr nos actes et détester nos peurs. Comment se sortir de cette zone inconfortable de l’existence? Comment faire en sorte d’être authentique avec soi-même et accepter d’entrer dans une réconciliation à soi et avec l’autre également, nous permettant ainsi de regarder sans œillère toute la complexité de notre vie, et de notre être. Choisir entre le clandestinement ou l’authenticité, c’est considérer le pardon à soi et à l’autre dont nous sommes réellement capables et responsables. Nos actes ont des causes et des conséquences. Pour atteindre la réconciliation authentique, il revient à trouver une voie qui nous permettra de dépasser notre cercle vicieux de remords. Comment se réconcilier avec authenticité ? Pour vous aider, voici 5 étapes pour atteindre la réconciliation authentique au cœur de vous-même 1. Le remord est une blessure positive, acceptez-le! Le remord est une douleur que nous nous imposons comme une sanction, une peine maximale à ce que nous avons réalisé et que nous jugeons de néfaste. Le remords est une blessure que nous faisons naître si quelque chose ne s’est pas déroulé comme nous l’aurions espéré. Pourtant dans le remord il y a le mouvement de la vie qui n’est pas à considérer comme un châtiment mais plutôt comme une ouverture de l’être à se dire qu’il a agi comme il le sentait. Il arrive que certaines choses nous échappent parfois