Un an pour vivre
Un an pour vivre et se retourner parfois, un peu, pour revoir ce qui nous a brisé. Ce n’est pas pour s’y replonger, pas pour raviver les douleurs, mais pour reconnaître et nommer ce qui a laissé trace, ce qui, dans l’ombre, façonne encore nos gestes, nos choix, nos silences. Il faut se retourner doucement, avec la tendresse d’une main posée sur une cicatrice, avec le regard de celle ou celui qu’on est devenu après. Parce qu’il y a des morceaux qu’on a laissés derrière, trop vite, trop violemment. Et qu’ils nous appellent encore parfois, dans nos peurs, dans nos élans freinés, dans ce qu’on n’ose plus ouvrir. C’est dans cet esprit que Jade a écrit “Un an pour vivre”, son autobiographie romancée retraçant son parcours face au cancer de Hodgkin stade 4, survenu à l’âge de 18 ans, depuis les premiers symptômes jusqu’à la dernière chimiothérapie et l’entrée en rémission. Mais ce livre n’est pas seulement son histoire. Il se veut aussi un outil de partage et de sensibilisation : Jade souhaite que ce projet ait une portée caritative forte. Elle prévoit de reverser 80 % des bénéfices à l’association La princesse Margot, basée à Paris, qui accompagne les enfants et adolescents atteints de cancer ainsi que leurs familles. De son côté, elle ne conservera que la part nécessaire pour couvrir les frais liés à la publication. Le livre sera publié sous un pseudonyme, pour que l’attention reste entièrement sur le témoignage et l’action solidaire, plutôt que sur son identité. Pour financer l’édition, Jade a mis en place une cagnotte Leetchi :https://www.leetchi.com/fr/c/autobiographie-romancee-au-profit-des-enfants-et-ados-atteints-de-cancer-4883591?utm_source=copylink&utm_medium=social_sharing L’objectif est de couvrir correction, mise en page, impression et diffusion. Grâce au soutien de la maison d’édition de Nelly Delas, le coût de publication est réduit à 650 €, mais chaque contribution rendra ce projet encore plus solide et permettra de transformer chaque vente en soutien concret et durable pour les enfants et leurs familles. Répartition des bénéfices Se retourner, un peu, ce n’est pas une faiblesse. C’est une forme de courage, un acte d’amour envers soi. Aller là où ça a cassé, non pour y vivre encore, mais pour y poser de la lumière, comprendre et, peut-être, enfin pardonner. Parce qu’on ne guérit pas par oubli, mais par regard, douceur et présence à son histoire. Et parfois, un simple pas vers hier suffit pour pouvoir marcher librement vers demain. “Un an pour vivre” n’est pas seulement l’histoire de Jade. C’est une main tendue vers ceux qui traversent la maladie, un témoignage pour les proches et un moyen concret de soutenir une cause qui nous concerne tous : l’accompagnement des jeunes face au cancer.
triangle doré Isis
Le Triangle doré et l’énergie d’Isis ne sont pas seulement des techniques ou des pratiques car c’est un chemin, un souffle qui touche le corps, l’esprit et l’âme. C’est un espace de guérison, de lâcher-prise, de révélation de soi et de confiance retrouvée. C’est une invitation à se reconnecter à sa force intérieure, à son intuition, à sa créativité. Ce chemin, je l’ai expérimenté, et je souhaite aujourd’hui le partager, parce qu’il peut transformer la manière dont on se perçoit et dont on avance dans la vie. J’ai toujours été fascinée par ces énergies anciennes, celles qui traversent le temps et viennent nous toucher là où ça compte vraiment : dans notre cœur, notre intuition, notre essence. Parmi elles, il y a le Triangle Doré, découvert par James Purner en 1886. Ce praticien de Reiki raconte avoir vécu deux visions qui ont changé sa vie : il a compris que sa mission était d’accompagner les autres dans leur chemin spirituel. Il y a quelque temps, j’ai moi-même eu l’occasion de vivre une séance de soin avec l’énergie du Triangle doré et d’Isis. Je souhaite partager cette expérience ici, parce qu’elle m’a profondément touchée et transformée, et qu’elle me semble importante à connaître pour quiconque cherche à explorer cette énergie. Allongé sur son lit après une méditation, James Purner raconte qu’une force intense a touché son troisième œil, le laissant immobile pendant deux heures. Dans ce silence imposé, il a compris que la déesse Isis était la source de cette énergie, et que sa mission était de la transmettre, à travers le temps et l’espace. Une énergie ancienne et puissante Le Triangle doré et l’énergie d’Isis est un système spirituel issu de l’Égypte ancienne, directement lié à Isis. Il ne se contente pas de soigner : il active la croissance personnelle, stimule l’intuition et ouvre la voie à un véritable travail sur soi. On peut l’utiliser : Isis, la déesse guérisseuse Isis, dont le nom signifie “trône”, est la figure féminine par excellence : mère, sœur, épouse, protectrice, guérisseuse. Elle incarne le féminin sacré, la vie, la régénération. Dans l’histoire égyptienne, elle protège les rois défunts et inspire la régénération. Plus tard, elle devient une déesse universelle, invoquée à travers le bassin méditerranéen, symbole de créativité, d’intuition et de force intérieure. Les bienfaits des soins inspirés par Isis Travailler avec l’énergie du Triangle Doré, c’est inviter : Pour ma part, cette expérience m’a permis de ressentir profondément l’énergie d’Isis, de me reconnecter à moi-même et d’ouvrir un espace de clarté et de calme intérieur. Elle m’a rappelé à quel point notre corps, notre esprit et notre âme peuvent se réaligner lorsque l’on s’autorise à recevoir ces énergies. Ces soins ne se contentent pas de soulager : ils ouvrent un espace où l’on peut se réapproprier sa force intérieure et laisser émerger une nouvelle clarté. Et c’est exactement ce que j’ai ressenti, et ce que j’ai envie de partager avec vous aujourd’hui. Pour aller plus loin Si vous sentez l’envie de découvrir cette énergie et de vous offrir un moment de soin profond, vous pouvez prendre rendez-vous directement via le site maenetsens.com ou par téléphone au 06 99 27 94 09. C’est un voyage intime, puissant et transformateur qu’Estelle sera ravie de partager avec vous. Pour ma part, ce soin m’a ouvert des portes insoupçonnées : il a nourri mon inspiration, développé mon écriture thérapeutique, et m’a permis d’explorer de nouvelles formes de narration. C’est dans cette énergie que j’ai écrit ma première romance érotique, “À bout de souffle interdit”, disponible sur mon site et sur Amazon. Ces expériences montrent à quel point la guérison intérieure peut se transformer en création, et comment chaque soin peut devenir une étincelle de transformation personnelle et artistique. A bout de souffle interdit 4 rituels d’écriture thérapeutique
A bout de souffle interdit
A bout de souffle interdit est un voyage au creux de soi, entre désir, érotisme et vérité. Écrire À bout de souffle interdit a été, pour moi, bien plus qu’un projet littéraire. Ce fut un appel viscéral. Une traversée. Une manière de descendre là où le silence devient parole, où le souffle se mêle au frisson, et où la romance érotique se fait langage de l’âme. Ce roman est un voyage intérieur, au croisement du désir et de la réconciliation, entre la peau et l’invisible. Une aventure charnelle, mais aussi émotionnelle, qui ose regarder le manque en face, la tension du non-dit, et ce feu lent qui nous habite même quand tout semble éteint. Le souffle interrompu : métaphore du désir contenu L’expression À bout de souffle dit déjà tout : le trop-plein, la retenue, l’intensité qui ne trouve pas d’issue. Ce souffle est interdit non parce qu’il est dangereux, mais parce qu’il dérange, il déplace, il éveille. Il est celui du désir que l’on tait, de l’élan vital qu’on a appris à réprimer. À travers la relation entre Nila et Léann, c’est toute la question du droit au plaisir, à l’émotion libre, au corps réconcilié, qui s’invite. Ils ne vivent pas un amour lisse, mais un amour profond, rugueux parfois, intime toujours. C’est une romance érotique où le corps est mémoire, où chaque toucher est une interrogation sur soi. L’érotisme comme connaissance de soi Dans À bout de souffle interdit, l’érotisme n’est jamais gratuit. Il est outil de transformation, langage poétique, vérité mise à nu. Il est le lieu où les masques tombent, où l’on n’a plus d’autre choix que d’être vrai. Oser le désir, c’est souvent oser se rencontrer pour la première fois. Le corps devient page blanche. Le plaisir, un acte de présence. L’érotisme, ici, n’est pas spectacle : c’est initiation. Une écriture comme rituel de libération Écrire ce roman, c’était aller chercher ce que le corps sait mais que l’on n’ose pas toujours nommer. C’était offrir à mes personnages un espace pour renaître et à vous, lecteur·rice, un espace pour vous retrouver. Chaque phrase, chaque souffle, chaque silence dans ce livre a été écrit comme on ouvre une porte vers l’intérieur. C’est une invitation à descendre en soi, à travers le désir, la sensualité, la blessure et la lumière. Ce livre est un acte de guérison érotique, un manifeste pour réconcilier le corps et l’âme. Ce que vous allez ressentir dans ma romance érotique Pourquoi lire À bout de souffle interdit ? Parce qu’il ne s’agit pas d’un simple roman érotique. Il s’agit d’un miroir, tendu à votre propre histoire. D’un souffle que vous avez peut-être retenu trop longtemps.Parce qu’au-delà du plaisir des mots, il y a un éveil, une réappropriation du corps, du désir, de votre capacité à aimer autrement plus librement. Et parce que parfois, une romance peut changer une vie. Non pas par ce qu’elle raconte, mais par ce qu’elle réveille en vous. Pourquoi lire À bout de souffle interdit ? Parce que ce livre n’est pas seulement une lecture, c’est une expérience, une invitation à ralentir, à écouter son souffle, à s’autoriser à être pleinement soi. Parce que derrière chaque page, il y a un peu de moi et peut-être un peu de vous. Parce que je crois que la littérature peut être un acte d’amour, un chemin de guérison, une révolution douce. Disponible dès maintenant Je vous invite à rejoindre ce voyage intime. Offrez-vous ce souffle, cette liberté, cette découverte de soi à travers l’histoire de Nila et Léann. À bout de souffle interdit vous attend, prêt à vous emporter au creux d’un univers sensible et vibrant. Pour vous procurer ma romance érotique: A bout de souffle interdit Et pour aller plus loin dans mes histoires, je vous conseille mon histoire sur la dépendance affective: Enfin honorer mon je suis
Hypnose de spectacle : la puissance de l’instant entre présence et éveil
Hypnose de spectacle : la puissance de l’instant entre présence et éveil est un appel à revenir à l’essentiel, à cette zone suspendue où le temps s’efface pour laisser place à la vérité de l’âme. Sur scène, cet art fascinant déploie toute sa magie dans l’instant présent, ce moment unique où le conscient et l’inconscient se rencontrent, où le visible flirte avec l’invisible. L’hypnose de spectacle est un art qui se joue à la croisée du temps et de l’âme, un art où la puissance de l’instant prend toute sa dimension. Comme le rappelle Eckhart Tolle, dans Le Pouvoir du moment présent, c’est dans cet espace suspendu, ce « maintenant » silencieux, que se trouve la véritable transformation. Sur scène, dans cette rencontre fugace entre l’hypnotiseur et la personne, se déploie un moment rare, fragile, chargé d’une intensité qui dépasse le visible. Ce n’est plus seulement un spectacle, mais un instant d’éveil, un pont entre conscience et inconscient, où le temps semble s’effacer. L’instant : terrain sacré de l’hypnose Eckhart Tolle nous invite à nous ancrer dans le présent, à écouter ce qui est là, ici, maintenant. Dans l’hypnose de spectacle, chaque moment partagé est exactement cela : un espace hors du temps où se crée une présence pure. Olivier Reivilo, dans son guide ” Hypnose de spectacle“, nous apprend que cet art ne peut s’improviser. Il demande une écoute fine, une ouverture à ce qui surgit à l’instant même sans jugement ni contrôle. Cette attention portée à l’ici-et-maintenant ouvre des fenêtres invisibles, des portes secrètes au sein de l’âme. La magie naît de la présence Ce que le public voit, c’est souvent un spectacle de gestes, de paroles, d’effets. Mais ce qui touche réellement, ce qui transforme, c’est la qualité de la présence sur scène. Hypnose de spectacle c’est la puissance de l’instant entre présence et éveil et l’hypnotiseur est pleinement là, ancré dans l’instant, il devient un guide capable de toucher l’invisible. Il crée un espace où la personne hypnotisée peut lâcher prise, s’abandonner sans peur, s’autoriser à être pleinement elle-même. L’instant suspendu : au-delà du contrôle, la liberté Sur scène, la tentation du contrôle est forte. Pourtant, c’est en renonçant à ce besoin que l’hypnose révèle toute sa puissance. Dans la confiance à l’instant, dans la remise au silence de l’ego, naît un espace où l’être se dévoile. Comme le dit Eckhart Tolle, le moment présent est le seul véritable pouvoir que nous ayons. En hypnose, cet instant suspendu devient alors une fenêtre d’accès à cette puissance, une occasion rare de guérison, d’émerveillement, de révélation. La puissance de l’instant : une leçon pour tous Que l’on soit hypnotiseur ou spectateur, cette expérience enseigne l’humilité, le respect, et surtout la nécessité de revenir à soi, à cet espace d’attention pure. Elle rappelle que la vraie magie ne réside pas dans des effets spectaculaires, mais dans la qualité profonde du moment partagé. L’hypnose de spectacle, telle que l’explore Olivier Reivilo, rejoint ainsi une sagesse ancestrale : que c’est dans la pleine conscience de l’instant que se trouve la clé de toute transformation. L’hypnose de spectacle est bien plus qu’un divertissement. C’est un art subtil qui repose sur la puissance de l’instant, cette ouverture au présent qui fait tomber les barrières entre les mondes visibles et invisibles. Le guide d’Olivier Reivilo est un précieux compagnon pour qui souhaite s’aventurer dans cet espace présent, où chaque souffle compte, chaque regard devient un portail, et chaque silence, une invitation à l’éveil. Devenir hypnotiseur de spectacle c’est ouvrir ces portes de l’instant présent avec les autres. Pour vous procurer le livre d’Olivier: Hypnose de spectacle Pour aller plus loin: L’hypnose et l’écriture: deux voies de transformation personnelle. Hypnose de spectacle: à la croisée du visible et de l’âme
Hypnose de spectacle : à la croisée du visible et de l’âme
Hypnose de spectacle : à la croisée du visible et de l’âme Hypnose de spectacle : à la croisée du visible et de l’âme, cette formule pourrait sembler paradoxale à première vue. Pourtant, elle révèle l’essence profonde de cet art fascinant. Il ne s’agit pas seulement d’induire le sommeil ou de faire rire un public, mais bien d’explorer ce que le conscient cache et ce que l’âme ose révéler. Il y a, dans la lumière des scènes, des gestes invisibles, des silences habités, des regards qui basculent aussi et qui peuvent réveiller chaque être présent.L’hypnose de spectacle n’est pas ce qu’elle paraît être. Elle ne se résume pas aux rires qu’elle déclenche, ni aux prouesses qu’elle révèle. Elle est passage et franchissement. C’est un rendez-vous intime avec l’inconscient. Quand un hypnotiseur parle, c’est à l’âme qu’il s’adresse aussi tout doucement, sans l’effrayer, sans la brusquer. Et parfois, sur scène, un être glisse hors de son masque. Et il se découvre. Il ne joue plus. Il se retrouve dans une partie de lui-même qu’il n’avait peut-être jamais imaginée. C’est ce fil secret, cette tension douce entre le spectacle et l’éveil, qu’Olivier Reivilo saisit avec justesse dans son guide sur l’hypnose de spectacle. Il y partage plus que des techniques, c’est une vision, une présence, une invitation à écouter ce qui murmure derrière l’illusion. L’hypnose de spectacle est à la croisée du visible et de l’âme. Hypnose de spectacle, de la scène à soi : un mouvement intérieur On croit que l’hypnose est une perte de contrôle. Mais souvent, elle est un retour à soi, à un soi que l’on avait mis de côté, oublié, enfoui.L’hypnose de spectacle, quand elle est pratiquée avec respect, devient un écrin de vérité. Ce n’est pas un jeu de pouvoir. C’est un espace de résonance. Et Olivier Reivilo le respecte amplement. “Tout est déjà là. L’hypnose ne crée rien. Elle révèle.”Olivier Reivilo Ce que le guide d’Olivier nous montre, c’est que le spectacle peut être un rituel, une porte entrouverte sur des mémoires, des élans, des émotions enfouies.Et pour celui ou celle qui accepte de plonger, c’est parfois le début d’une métamorphose douce.Une peur qui s’allège. Une timidité qui se libère. Une image de soi qui s’ouvre. L’hypnose comme outil de réappropriation de soi Être hypnotisé, c’est, parfois, reprendre possession de son espace intérieur. Dire oui, là où l’on disait toujours non. Se laisser être, là où l’on fuyait. De la même manière, dans son guide, Olivier Reivilo invite à l’écoute subtile. Il ne dresse pas un manuel froid. Il écrit comme on tend une main. Avec respect, avec profondeur. Il rappelle que l’hypnose de spectacle peut être un soin à l’âme autant qu’un art scénique. Quand le public devient témoin d’un éveil Ce que vit la personne sur scène n’est pas qu’un moment drôle ou troublant. C’est souvent un bouleversement discret.Et le public, sans toujours le comprendre, devient témoin d’une bascule. Car l’hypnose, même dans un cadre spectaculaire, a ce pouvoir singulier : réconcilier le conscient et l’invisible. Elle trace des ponts. Elle restaure des espaces. Elle apaise des mémoires. Dans le monde de la performance, rares sont les arts qui, comme l’hypnose, touchent aussi intimement l’humain dans sa vulnérabilité. L’hypnose de spectacle: un art, une voie, un retour L’hypnose de spectacle, telle que la partage Olivier Reivilo, est un chemin de transformation voilé sous les rires.Elle n’a rien de superficiel quand elle est habitée d’intention. Elle peut être catalyseur de vérité, tremplin vers la réconciliation intérieure, miroir tendu à ceux qui cherchent à renaître. Le guide qu’il propose est un compagnon précieux, non pour manipuler mais pour accompagner, respecter, ouvrir.Il s’adresse à l’artiste, au thérapeute, à l’âme curieuse. À chacun qui ressent que le vrai spectacle commence quand l’être s’éveille. Pour vous procurer le livre d’Olivier Reivilo: Hypnose de spectacle L’hypnose et l’écriture: deux voies vers sa transformation personnelle
Ecrire pour guérir: se réapproprier son histoire
Ecrire pour guérir: se réapproprier son histoire est un chemin de résilience. Quand les mots manquent, le corps parle. Quand la douleur déborde, l’écriture devient passage. Depuis toujours, écrire a été plus qu’un geste littéraire car c’est un acte de survie, un refuge, un cri silencieux, un fil tendu entre soi et soi. Aujourd’hui, de plus en plus de personnes utilisent l’écriture comme outil de résilience, de reconstruction, de transformation. Le pouvoir de l’écriture dans la guérison ne réside pas seulement dans les mots posés, mais dans l’acte même de dire, d’écrire et de s’écrire, de redonner sens à ce qui fut chaos. C’est un outil puissant de réparation, de renaissance. Écrire pour guérir : se réapproprier son histoire comme un acte fondateur Quand la parole peine à sortir, l’écriture prend parfois le relais. Elle offre un espace de dépôt, un refuge, un miroir. Elle permet de mettre à distance, d’analyser, de comprendre. Mais surtout, elle permet de reprendre la main sur son propre récit. Dans Enfin honorer mon Je suis, j’ illustre avec ma sensibilité profonde cette puissance de l’écriture. À travers un cheminement intime et poétique, je montre comment mettre en mots ses blessures peut devenir un acte d’amour envers soi-même. Mon livre est une célébration de la reconquête intérieure, une ode à la dignité retrouvée par la voie du verbe. “Écrire, c’est enfin habiter ce que l’on a fui trop longtemps : soi-même.” L’écriture thérapeutique : une voie de résilience L’écriture thérapeutique ne vise pas la performance littéraire. Elle n’exige ni style ni structure. Elle accueille tout : la rage, le chagrin, la confusion, les souvenirs fragmentés. Elle invite à déposer sur le papier ce qui pèse, ce qui brûle, ce qui enferme. Écrire, c’est reconstituer son puzzle. C’est reprendre possession de son histoire. C’est passer du statut de victime à celui de narratrice ou narrateur. C’est dire « je » à nouveau, dans sa pleine puissance. Des parcours de reconstruction comme ceux décrits dans Mila : De l’ombre à la lumière de Jennifer Tillit montrent à quel point l’écriture peut devenir une planche de salut, un moyen de reprendre souffle, mot après mot, jour après jour. Témoigner pour soi… et pour les autres Lorsqu’on écrit son histoire, on la rend réelle. On la sort du flou, du doute, du refoulement. On lui donne forme. Et souvent, on la rend partageable. Le témoignage devient alors un acte double : de guérison pour soi, et de lumière pour les autres. Des livres comme Le Consentement de Vanessa Springora ont permis à des milliers de lecteurs et lectrices de se sentir moins seuls, de mettre des mots sur leurs propres silences, et parfois même d’oser écrire à leur tour. Écrire, c’est résister à l’effacement Dans une société où la parole est encore trop souvent confisquée aux victimes, écrire devient un acte de résistance. C’est refuser l’oubli. C’est choisir de graver sa vérité dans le monde. Et parfois, c’est la seule manière possible de reprendre souffle. Car le pouvoir de l’écriture dans la guérison, c’est aussi cela : poser une trace. Affirmer sa présence. Refuser de disparaître sous les couches de douleur ou de silence. “Je suis. J’ai souffert. J’ai écrit. Et je suis encore là.” Ecrire pour se reconstruire Écrire n’efface pas le passé. Mais cela donne un sens nouveau aux éclats de vie éparpillés. Cela redonne de la cohérence à ce qui semblait n’être qu’un champ de ruines. Cela permet de se relier à soi, à ses ressources, à sa lumière. Le pouvoir de l’écriture dans la guérison est immense, intime, et universel. C’est un outil de transformation que chacun et chacune peut s’approprier, sans autre légitimité que celle d’exister. Alors si les mots vous brûlent, laissez-les couler. Car dans chaque phrase posée, c’est un pas vers la liberté intérieure qui s’écrit. Pour vous procurer les livres: Mila, de l’ombre à la lumière Enfin honorer mon je suis Pour aller plus loin: La manipulation mentale en amour Rompre le silence La résilience comme chemin de renaissance Et si vous voulez écrire votre propre histoire, voici une formation en écriture thérapeutique: S’épanouir grâce à l’écriture thérapeutique
Rompre le silence
Rompre le silence c’est dire l’indicible pour guérir l’invisible. Le silence est la première cage. Il précède les cris, les blessures visibles, les constats judiciaires. Il s’installe là où les mots manquent, où la peur et la honte verrouillent la bouche et l’esprit. Rompre ce silence est souvent le premier acte de résistance, la première étape du processus de résilience. Le poids du silence dans l’emprise Lorsqu’on parle d’emprise psychologique, on pense souvent à des actes concrets comme des interdictions, humiliations, contrôles… Mais l’un des outils les plus puissants et destructeurs de l’agresseur est le silence imposé. Celui que la victime intériorise, par peur de ne pas être crue, par culpabilité, ou par attachement. Ce silence est celui de la sidération, celui qui enferme. Il n’y a pas toujours de cris dans les premières violences. Ce sont seulement des doutes, des silences qui étouffent, des regards qui condamnent, des gestes qui isolent. La victime s’enfonce dans l’isolement et l’autocensure, et plus les jours passent, plus parler semble impossible. “Le silence n’est pas l’absence de bruit. C’est l’absence de place. Droit de cité. Droit d’être.” — Le Consentement, Vanessa Springora Parler pour reprendre pouvoir Rompre le silence, ce n’est pas simplement raconter : c’est réaffirmer son humanité, reprendre le fil de sa propre histoire. C’est dire : « J’ai vécu cela » et ne plus en avoir honte. Cette étape est centrale dans le chemin de la résilience. Car nommer, c’est comprendre. Comprendre, c’est se libérer. Et se libérer, c’est reconstruire. Dans Mila : De l’ombre à la lumière, Jennifer Tillit met en scène ce basculement. Mila, comme tant d’autres, a d’abord attendu, justifié, excusé. Puis un jour, elle parle. Elle ose nommer l’emprise, les violences, le viol. Ce passage de l’ombre à la parole devient une renaissance. Parler, c’est briser la nuit. C’est s’arracher au néant. C’est renaître, une syllabe à la fois. La résilience comme chemin de renaissance dans la littérature entre témoignage et libération Depuis quelques années, de nombreuses autrices ont fait entendre leur voix et celle des autres : Vanessa Springora avec Le Consentement, Camille Kouchner avec La Familia grande. Ces récits ne sont pas que des dénonciations. Ils sont aussi des actes de survie, des manières de transformer la blessure en conscience, la douleur en lucidité. Les récits littéraires ou autobiographiques offrent un espace où dire l’indicible devient possible. Ils brisent l’isolement et permettent aux lecteurs et lectrices de se reconnaître, de comprendre, parfois de guérir. Rompre le silence : un acte de résilience collective Rompre le silence ne relève pas seulement de l’intime. C’est aussi un acte politique et collectif. Chaque témoignage encourage d’autres à parler, chaque voix ajoutée rend l’inaudible un peu plus audible. Dans une société où les mécanismes de l’emprise sont encore mal compris, où le viol dans le couple est largement sous-estimé, et où les institutions ne sont pas toujours formées à accueillir la parole, briser le silence est une forme de résistance. “La parole est un acte. La parole est un pouvoir. Et dans le silence, le pouvoir change de camp.” De la parole comme renaissance Rompre le silence, c’est refuser l’effacement. C’est faire de la parole un outil de justice, un remède contre la sidération. C’est un acte de résilience profonde, qui ouvre la voie à la réparation, à la justice, et à la liberté retrouvée. Dans Mila, comme dans tant d’autres récits, la parole devient souffle. Elle nous rappelle qu’il n’est jamais trop tard pour dire, pour être entendu, pour guérir. Parce que le silence n’est jamais neutre. Et que parler, c’est commencer à vivre autrement. Pour vous procurer le roman de Jennifer Tillit: Mila, de l’ombre à la lumière Pour aller plus loin dans l’exploration de ce thème: La résilience comme chemin de renaissance La manipulation mentale en amour Enfin honorer mon je suis de Nelly Delas
La résilience comme chemin de renaissance
La résilience comme chemin de renaissance est une ode à la vie. On parle souvent de résilience comme d’un miracle. Mais ce que Jennifer Tillit montre dans Mila : De l’ombre à la lumière, c’est que cette renaissance n’a rien de magique. Elle est à la fois tremblement et ténacité, chute et éveil. Elle se joue dans l’invisible des jours ordinaires, dans chaque battement du cœur qui refuse de se rendre. Une héroïne ordinaire, une résilience extraordinaire Mila n’est pas une héroïne au sens spectaculaire. Elle est une femme comme tant d’autres. Une femme qui a aimé, cru, cédé, subi. Une femme qui n’a pas vu venir l’effondrement, et qui pourtant, a su se relever. Le roman dessine les contours fragiles de cette reconquête de soi à la fois lente, douloureuse, parsemée d’écueils mais tissée d’espoir. Chaque mot que Mila dépose devient une pierre à son propre sanctuaire. Elle passe par le déni, la peur, la colère, la honte, puis la compréhension, la parole, l’affirmation. Il n’y a pas de raccourci, seulement un chemin qu’elle trace à mesure qu’elle apprend à se croire et à s’aimer à nouveau. La résilience comme chemin de renaissance n’est donc pas la fin d’une histoire. C’est la promesse d’un recommencement. Une parole littéraire pour survivre Ce roman incarne profondément la résilience féminine, celle qui, même brisée, continue de croire à la lumière. Jennifer Tillit donne à voir ce processus invisible, intime, lent, mais vital. Mila devient alors bien plus qu’un personnage car elle est le miroir d’un combat universel, celui du retour à la vie après l’anéantissement. À travers la plume juste et poignante de l’autrice Jennifer Tillit, Mila : De l’ombre à la lumière révèle que la résilience n’est pas un état figé, mais une dynamique en mouvement. Elle se construit dans l’altération, dans la mémoire, dans le corps, dans la parole et dans les liens qui, peu à peu, réparent ce qui a été détruit. Dans ce roman, le dépouillement poétique dit l’indicible, c’est un hymne discret à la réparation intérieure. La parole devient matière à vivre où chaque page est un acte de survie. La résilience : du chaos à la lumière Ce roman est un guide silencieux pour celles et ceux qui traversent les ténèbres. Il montre que même dans l’abîme, la vie reste là, tapie, en attente d’un souffle pour renaître. Et que chaque pas, même minuscule, vers la liberté intérieure, est un acte de résilience. Mila ne nous apprend pas à être fortes, mais à être vraies. Elle nous rappelle que survivre est déjà un acte de courage. Que le retour à soi est le plus beau des combats. Et que, parfois, la plus grande victoire, c’est d’avoir osé rester vivante. “Il faut du courage pour naître une deuxième fois de ses cendres. Ce n’est pas un miracle. C’est un choix. Une foi. Une marche.” selon Jennifer Tillit. La résilience, un acte d’amour envers soi Mila : De l’ombre à la lumière est plus qu’un roman : c’est une traversée. Celle d’une femme vers sa vérité, vers sa lumière, au cœur même de l’obscurité. En nommant l’indicible, en redonnant à la douleur ses contours et à la parole sa dignité, Jennifer Tillit ouvre une voie. Celle d’une résilience incarnée, humble, courageuse. Ce récit nous rappelle que l’on ne se reconstruit jamais seule. Que la parole partagée, l’écoute reçue, les mots posés sont autant de jalons sur le chemin de la renaissance. À l’heure où tant de voix s’élèvent pour dire non, pour briser le silence, Mila devient un texte miroir et un texte phare. Lire Mila, c’est honorer toutes celles qui n’ont pas encore pu parler, c’est tendre la main à celles qui cherchent leur voie, et c’est croire, profondément, que malgré les blessures, vivre est encore possible et même, peut-être, plus intensément qu’avant. Pour vous procurer le roman: Mila, de l’ombre à la lumière Pour aller vers le chemin de la résilience, osez rentrer dans un processus d’écriture thérapeutique: S’épanouir grâce à l’écriture thérapeutique Et pour aller plus loin dans l’exploration du livre de Jennifer Tillit, lisez l’article suivant: La manipulation mentale en amour
L'envol du condor
L’envol du Condor, quand la fiction devient mémoire ancestrale… Et s’il existait encore, quelque part, un souffle oublié ? Un souffle porté par les vents anciens, par les prières silencieuses des Kogis, ces gardiens de la Terre qui n’ont jamais cessé de croire à l’équilibre du monde ? Dans son roman puissant et visionnaire L’Envol du Condor, Louise de Morlay tisse une toile sacrée entre passé et futur, visible et invisible, pour nous offrir une œuvre à la fois prophétique, poétique et profondément spirituelle. Ce livre est bien plus qu’un simple récit d’anticipation. C’est un appel à l’éveil, une invitation à retrouver notre essence perdue à travers une prophétie millénaire. L’envol du Condor, un voyage initiatique entre lumière et ombre L’an 2180. La Terre ne ressemble plus à celle que nous connaissons. Les secousses du XXIᵉ siècle, des crises climatiques, effondrements sociaux, pertes de repères ont laissé derrière elles un monde fracturé. Mais comme souvent, c’est dans les ruines que germent les graines de renouveau. C’est dans ce contexte que naît Leisa, une enfant lumière, héritière d’une prophétie cachée au cœur des montagnes sacrées. Choisie par les anciens, guidée par l’intuition des peuples premiers, elle est promise à une mission bien plus grande qu’elle, rallumer l’espérance dans le cœur des hommes. À ses côtés, Zachel, âme sœur et gardien, la soutient dans un périple autant géographique que mystique. À travers plaines désertées, cités en ruine, temples oubliés, ils suivent les signes, affrontent les ténèbres et révèlent une vérité universelle : la lumière existe en chacun, il suffit d’oser la réveiller. L’envol du Condor, un roman spirituel et futuriste, miroir de notre temps L’Envol du Condor s’impose comme un roman aux multiples visages. C’est un récit d’anticipation, oui, mais jamais technologique ou froid. C’est aussi un roman d’amour éternel, où le lien entre Leisa et Zachel transcende le temps, les épreuves, les doutes.Et c’est surtout une œuvre profondément spirituelle, inspirée des sagesses autochtones, de la mémoire cellulaire et des lois naturelles de l’univers. Louise de Morlay maîtrise l’art de nous faire voyager au-delà des mots. Sa plume est vibrante, habitée, presque chamanique. Chaque chapitre nous ramène à notre propre quête intérieure, à cette question que tout lecteur finira par se poser cette question fondamentale:“Et moi, où est ma lumière ? Suis-je prêt(e) à la laisser s’envoler ?” À qui s’adresse ce roman ? À celles et ceux qui ressentent l’appel du sacré, du silence derrière les apparences, de la beauté qui ne s’explique pas mais qui se reconnaît au frisson qu’elle provoque. Ceux pour qui chaque instant peut devenir un rituel, chaque rencontre une initiation. À toutes les âmes qui portent en elles une vision du monde plus juste, plus humaine, plus reliée.Des êtres en quête de lien authentique, de respect du vivant, d’une manière nouvelle – ou très ancienne – de marcher sur la Terre, en conscience. À tous les amoureux de romans prophétiques, d’histoires spirituelles, où la trame de l’univers se dévoile dans la fragilité des êtres, dans la force des symboles, dans les murmures du destin.Là où l’amour et la foi ne sont pas naïveté, mais armes de lumière face à l’obscurité du monde. À celles et ceux qui cherchent la vérité, non pas dans les dogmes, mais dans la vibration intérieure.À ceux qui aspirent à une liberté profonde, à la paix de l’âme, à cette joie tranquille née du souvenir de qui nous sommes vraiment. Ce que vous trouverez dans L’Envol du Condor -Une prophétie ancestrale, transmise dans le secret des peuples racines, et révélée au moment où l’humanité en a le plus besoin. -Une histoire d’amour éternel, puissante, vibrante, guidée non par la passion éphémère mais par l’évidence d’un lien d’âme. -Un récit initiatique mêlant spiritualité, aventure, conscience et espoir, à la croisée des mondes visibles et invisibles. Des personnages incarnés, profonds, touchants, qui vous habitent bien après la dernière page, comme des compagnons de chemin. Une plume poétique et habitée, qui élève l’âme, éclaire le cœur et vous laisse ce sentiment rare : celui d’avoir été transformé(e) en douceur, depuis l’intérieur. Pour vous procurer le livre: L’envol du condor
Ecrire de l'érotisme
Autour du roman À bout de souffle interdit – Par Nelly Delas Écrire de l’érotisme telle une dentelle sur la peau de l’âme. Ecrire de l’érotisme comme je l’ai fait dans mon roman À bout de souffle interdit, ce n’est pas seulement écrire des corps qui se cherchent. C’est toucher la dentelle du bout des doigts, la porter pas seulement sur la peau, mais dans l’âme. C’est écrire avec les sens éveillés, le souffle court, le cœur aux aguets. C’est effleurer sans jamais brusquer, suggérer plus que montrer, frôler l’indicible avec la précision d’un soupir. L’érotisme n’est pas une exposition. C’est une invitation, un murmure glissé à l’oreille de l’imaginaire, une tension qui monte entre deux silences, une caresse posée entre les lignes. C’est la lenteur des corps qui devient vertige. C’est la pudeur qui se déshabille doucement sous la plume jusqu’à ce que la vérité du désir s’impose, nue, mais jamais brutale.Écrire l’érotisme, c’est honorer le mystère. Écrire pour sentir, pas pour choquer. C’est dévoiler pour éveiller, pas pour forcer. Créer un espace intime, sacré où le corps devient langage, et le langage, un corps. Et dans À bout de souffle interdit, c’est aussi cela : l’histoire d’un souffle retenu trop longtemps, d’une femme qui apprend à respirer autrement avec la peau, avec le ventre, avec le cœur. C’est une brûlure douce, une fièvre élégante, un interdit qui ne détruit pas, mais qui révèle, une lumière qui passe par les failles. L’érotisme, une écriture de chair, d’ombre et de lumière L’érotisme vrai ne s’écrit pas pour séduire l’extérieur, mais pour réveiller l’intérieur. Il traverse. Il relie. Il transforme. Il parle la langue du corps, mais aussi celle du silence. Il écrit l’invisible dans les gestes,la beauté dans l’attente, la puissance dans la lenteur. Dans mon roman, cette dimension est partout dans les silences entre les personnages, dans les frôlements, dans les mots retenus, dans les gestes qui parlent plus fort que les dialogues. Écrire l’érotisme, c’est écrire l’intime universel. C’est écrire la vulnérabilité dans la jouissance, la présence dans l’abandon. C’est écrire le sacré du désir. Et toi ? Veux-tu écrire de la littérature érotique ? Voici deux exercices d’écriture pour explorer ton propre souffle érotique avec lenteur, avec respect, avec puissance. 1. Le frisson comme guide Ferme les yeux. Souviens-toi d’un moment intense, pas forcément sexuel mais chargé de désir, d’émotion, de tension.Quelque chose qui t’a fait frissonner, attendre, vibrer. Maintenant, écris ce que ton corps a ressenti :la chaleur, la peau, l’air autour, les odeurs, les micro-gestes. Ne raconte pas l’histoire. Raconte la sensation. 2. Le dialogue de peau Imagine deux personnes qui se désirent, mais qui ne se sont pas encore touchées. Pas un mot entre elles. Seulement des regards. Des gestes retenus. Des silences. Écris ce qu’ils se disent sans parler, ce que leurs corps se murmurent. Écris ce qui palpite dans l’attente.Ce qui vibre dans l’entre-deux. Pour aller plus loin : À bout de souffle interdit Ce roman n’est pas seulement une romance ou une histoire de peau. C’est un chemin de réconciliation avec le désir, une traversée de l’interdit, une respiration nouvelle dans le corps d’une femme qui apprend à s’écouter. Si tu veux découvrir À bout de souffle interdit pour le lire ou l’offrir, c’est ici :A bout de souffle interdit Ateliers d’écriture : écrire de l’érotisme conscient Je propose aussi des ateliers d’écriture érotique intuitive pour explorer cette écriture avec délicatesse, intensité et vérité. Des espaces pour écrire sans jugement, depuis ton corps, ton histoire, ton mystère. Tu peux m’écrire à nellydelasauteure@gmail.com Écrire de l’érotisme,c’est écrire avec la peau ouverte sur l’âme.Un feu doux, une offrande.Une écriture du vivant.
Rituels d'écriture thérapeutique
4 rituels d’écriture thérapeutique pour se libérer, pour vivre à nouveau pleinement. Il y a des mots qu’on a tus trop longtemps. Ce sont des phrases jamais prononcées, des vérités retenues derrière les dents, comme si le monde n’était pas prêt ou que nous ne l’étions pas. Et pourtant, au fond du ventre, dans le creux du cœur, quelque chose continue de murmurer comme un écho, une tension, un appel. Écrire devient alors un chemin, un geste de retour à soi. Ce n’est pas une performance, ni une posture. Cela devient une permission, celle de déposer, de transmuter, de panser par les mots ce que la vie a parfois blessé en silence. Dans la lignée de mes livres publiés sous le nom de Nelly Delas, tels que Le guide de l’autothérapie par l’écriture ou 50 exercices d’écriture thérapeutique, je t’invite ici à découvrir quatre rituels d’écriture thérapeutique, simples et puissants, pour ouvrir un espace à l’intérieur de toi. ÉCRIRE POUR DIRE CE QUI N’A PAS ÉTÉ DIT Exercice 1 : La lettre jamais envoyée Écris à quelqu’un à qui tu n’as jamais pu parler vraiment : un parent, un ex, un proche disparu, une version ancienne de toi.Dis-lui tout. Le vrai, le brut, le tendre, le douloureux.Ne te retiens pas. Il n’y a personne pour juger ici.Quand c’est fini, brûle ou enterre cette lettre. Ou relis-la comme un rite de clôture.Écrire pour poser le point final à ce qui restait ouvert. ÉCRIRE AVEC TES ÉMOTIONS, PAS CONTRE ELLES Exercice 2 : La page émotion Choisis une émotion qui te traverse souvent — tristesse, peur, colère, joie…Écris une page en laissant cette émotion s’exprimer.Tu peux commencer par : « Colère, qu’as-tu à me dire aujourd’hui ? »Laisse la colère écrire. Laisse la tristesse pleurer à travers tes mots.Tu ne l’écris pas pour l’analyser. Tu l’écris pour l’écouter. ÉCRIRE CE QUE TU AURAIS AIMÉ ENTENDRE Exercice 3 : Les mots manquants Ferme les yeux. Revie un moment de ta vie où tu aurais eu besoin d’être réconforté·e, soutenu·e, encouragé·e.Puis écris ce que tu aurais aimé qu’on te dise à ce moment-là.Fais-le avec douceur. Comme si c’était ton âme qui parlait à ton cœur.Ces mots, tu peux les relire chaque fois que tu en as besoin.Tu peux même les enregistrer avec ta propre voix. ÉCRIRE AVEC TON CORPS Exercice 4 : Mon corps se souvient Commence ton texte avec la phrase : « Mon corps se souvient de… »Et laisse venir. Une image. Une sensation. Un moment précis.Ne cherche pas à comprendre. Laisse le corps te guider.Parfois, il se souvient d’un lieu, d’un effleurement, d’un frisson.Parfois, il révèle un choc enfoui.Écrire, ici, c’est retrouver ton langage cellulaire. POUR ALLER PLUS LOIN : Ma formation en écriture thérapeutique Ma formation est pédagogiquement construite pour que tu puisses retrouver ton propre pouvoir en réalisant un processus d’écriture thérapeutique en 7 modules. S’épanouir grâce à l’écriture thérapeutique ATELIERS ET ACCOMPAGNEMENTS Je propose des ateliers d’écriture thérapeutique et intuitive, en ligne ou en présentiel, pour celles et ceux qui souhaitent :– écrire en profondeur– se reconnecter à leur intuition– traverser une étape de vie– libérer des mémoires par le mot Écrire, c’est parfois pleurer à travers l’encre.C’est aussi renaître à travers elle.Que tes mots deviennent refuge, feu et passage.Et que l’écriture t’offre ce que la vie t’a parfois refusé :l’espace d’être, sans condition.
Ecrire avec l'invisible
Écrire avec l’invisible, c’est tendre l’oreille à ce qui ne fait pas de bruit. C’est s’asseoir face à la page blanche comme on s’assoit face au feu, pour écouter ce qui brûle doucement derrière les voiles du monde. Ce n’est pas une écriture de surface, ni de performance, c’est une écriture d’alliance et de profondeur avec soi. L’écriture avec l’invisible se tisse avec l’ombre, avec la mémoire ancienne, avec les voix qui parlent sans mots. Écrire avec l’invisible, c’est parfois ne pas savoir d’où viennent les phrases, mais sentir qu’elles savent où elles vont. C’est laisser le corps devenir passage, le cœur devenir antenne. C’est traduire les frissons, les visions, les silences pleins. C’est écrire non pas pour expliquer, mais pour révéler. Pour poser des mots sur ce qui palpite dans l’intime, pour accueillir ce qui vient sans forme, mais chargé de sens. C’est une danse lente, souvent fragile, entre soi et ce qui nous dépasse un peu.Écrire avec l’invisible, c’est se laisser traverser. C’est faire confiance à ce qui émerge dans l’instant, sans chercher à corriger, à ordonner, à maîtriser. C’est une écriture qui écoute plus qu’elle ne dirige. Une écriture qui se fait humble, poreuse, presque chuchotée. Deux exercices pour s’ouvrir à l’écriture de l’invisible : 1. L’écriture en état modifié :Installe-toi dans un endroit calme. Ferme les yeux. Respire profondément quelques minutes. Pose une intention intérieure, comme : « Je me rends disponible à ce qui veut être écrit à travers moi. » Puis, ouvre un carnet, une page blanche, et commence à écrire sans réfléchir. Ne relis pas, ne corrige pas, ne t’interromps pas. Laisse venir. Cela peut ressembler à un rêve, à un poème flou, à une voix ancienne. Accueille ce qui se manifeste. 2. L’écriture depuis un symbole :Choisis un objet ou un élément naturel (une plume, une pierre, une bougie, une photo, une branche, etc.). Observe-le longtemps, comme s’il avait un message à te transmettre. Quand tu sens un écho intérieur, commence à écrire comme si c’était lui qui te parlait. Laisse surgir ce que cet objet, chargé de présence, murmure à ton âme. Là aussi, ne cherche pas à comprendre. Laisse l’invisible te guider. Pour approfondir cette pratique, je propose des ateliers dédiés à l’écriture intuitive et à la connexion avec l’invisible. Ces espaces sont conçus pour t’accompagner à travers des rituels d’écriture, des temps de méditation, des partages en cercle et des explorations créatives. Ensemble, nous apprendrons à écouter cette voix intérieure, à accueillir les messages du corps et de l’âme, et à libérer une écriture authentique qui traverse le visible et l’invisible.Ces ateliers sont autant d’invitations à renouer avec ta sensibilité profonde, à cultiver la présence et à laisser jaillir ce qui veut éclore.Si tu souhaites te lancer dans ce voyage d’écriture sacrée, n’hésite pas à me contacter. Pour aller plu loin: Mes coaching
La manipulation mentale en amour
Comprendre l’emprise à travers Mila, de Jennifer Tillit On croit toujours que cela n’arrive qu’aux autres. Que l’amour protège, que l’intuition alerte, que la volonté suffit à dire non. Jusqu’au jour où le piège se referme en silence, et que les mots pour le décrire n’existent pas encore. C’est cette descente dans l’emprise, ce vertige de la confusion, que Jennifer Tillit explore dans Mila : De l’ombre à la lumière. Et c’est cette réalité que trop de femmes vivent sans écho, sans écoute. L’histoire de Mila : un récit bouleversant Au fil des pages, Mila se dessine comme une jeune femme au regard timide, au cœur suspendu entre espoir et peur. Nous la découvrons entraînée dans une relation qui, sous ses apparences d’amour et de protection, cache doucement les premiers signes de l’emprise. Une main trop ferme, un regard qui se fait soupçon, des mots qui rongent l’estime. Jennifer Tillit installe le décor avec minutie en permettant au lecteur d’entrer, presque à l’insu de sa volonté, dans la toile subtilement tissée par le bourreau. Le contraste entre les jours dorés du début et les ombres grandissantes est poignant, la douceur se mue en contrôle, l’admiration en dépendance, l’atmosphère en piège. Et c’est là, dans cette remarquable transition, que le roman gagne toute sa puissance tragique. Les mécanismes de la manipulation mentale La manipulation mentale, telle qu’elle est dépeinte, se compose d’un jardin de fleurs vénéneuses, tout d’abord en caresse, puis c’est la morsure. L’agresseur met en place un système triangulé avec un isolement progressif, une culpabilisation permanente, et des petites humiliations masquées. Par cette formule, Jennifer Tillit fait passer l’agresseur de l’ombre à la moindre pensée. Lorsque la victime commence à douter, ce doute est immédiatement retourné. C’est elle, Mila, qui serait ingrate, instable, responsable de ce triste scénario. La fin de la prise de conscience est souvent brutale. Un geste, une parole qui brise un verre ou un reflet dans un miroir, mais l’emprise devient tangible. Et là s’ouvre un abîme intérieur, celui du sentiment d’aliénation, que seules les rares rencontres bienveillantes peuvent illuminer. Le viol dans le contexte de l’emprise Là où la manipulation mentale rencontre la violence sexuelle, le viol change de visage car il devient insidieux, silencieux, confisqué par la relation et interdit aux yeux des autres car non reconnu. Dans Mila, l’acte brutal ne s’impose pas toujours comme un cri, mais comme un consentement flouté, un consentement contraint qui laisse la victime dans un vertige incessant. La confusion naît de la parole brouillée, celle qui dit « oui » mais pense « non ». Celle qui s’excuse, s’explique, qui prête ses sentiments au bourreau. Dans cette dichotomie, la frontière entre consentement et contrainte s’efface. C’est un viol, invisible mais réel, que traverse Mila. Jennifer Tillit éclaire ce cercle vicieux. Les mots sont d’une précision cruelle : comment se réapproprier son corps quand on ne sait plus à qui il appartient ? De l’ombre à la lumière : le processus de reconstruction La reconstruction de Mila ne surgit pas en un éclair, mais s’installe dans la durée, dans la lenteur du verbe juste et de la parole retrouvée. Le roman décrit des étapes franchies pied à pied à la fois la confession à un proche, puis à un professionnel ; le retour à une image personnelle ; l’apprentissage de la confiance, de la sécurité, de l’affirmation jusqu’à cette parole enfin retrouvée. La thérapie, dans cette progression, prend une place douce et précieuse, des séances où les mots sont torturés, puis délivrés. Et puis l’écriture, elle-même, devient cet acte de guérison où l’on devient sujet de son histoire, et non plus objet. L’autrice réussit avec merveille à nous emmener vers ce chemin de la résilience. Le témoignage de Mila devient alors un étendard où sa parole éclaire d’autres vies encore prisonnières des mêmes ténèbres. De l’ombre à la lumière n’est pas un simple sous‑titre, c’est un itinéraire, une victoire silencieuse. Données invisibles : les statistiques qui parlent pour les absentes Violences sexuelles : un constat alarmant Les mécanismes de l’emprise psychologique Pourquoi ce livre est- il essentiel? Mila : De l’ombre à la lumière n’est pas un simple roman, c’est une passerelle entre l’intime et le collectif. Il offre un espace à celles qu’on n’écoute pas, un miroir à celles qui doutent, un phare pour celles qui cherchent à s’extraire de l’emprise. En mêlant poésie, violence, lucidité et espoir, Jennifer Tillit offre un récit profondément nécessaire et fondamentalement humain et déchirant. À l’heure où la société commence à peine à reconnaître l’étendue des violences psychologiques et sexuelles, un livre comme Mila agit comme un électrochoc littéraire. Il parle d’amour qui détruit, de corps qui oublient, de voix qui reviennent. Il faut lire Mila. Pour comprendre. Pour prévenir. Pour soutenir. Et pour que plus jamais, dans l’ombre, une voix ne s’éteigne sans lumière. Pour vous procurer le livre de Jennifer Tillit: Mila, De l’ombre à la lumière Pour se reconstruire pas à pas, découvrez la formation en écriture thérapeutique: S’épanouir grâce à l’écriture thérapeutique.
Les limites de l'effet miroir
Les limites de l’effet miroir peut être à la fois un outil de conscience et une dérive de manipulation. L’effet miroir est souvent présenté comme un principe puissant de développement personnel, ce que l’on perçoit chez l’autre serait le reflet d’une part de nous-mêmes, une invitation à l’introspection. Il peut, dans certains cas, nous aider à mieux nous connaître, à identifier nos blessures ou nos zones d’ombre à travers ce qui nous dérange ou nous touche dans nos relations. Mais cette idée, bien qu’intéressante, a ses limites. Tout n’est pas forcément un miroir. Il existe des situations où ce que l’on ressent est simplement juste, enraciné dans notre perception claire d’un comportement irrespectueux, violent ou malsain. Réduire toute réaction à une projection revient à nier notre lucidité, notre intuition et notre légitime besoin de poser des limites. La dérive de la manipulation J’en ai personnellement fait l’expérience. J’ai vécu une relation avec une personne narcissique qui utilisait constamment ce principe pour me culpabiliser. Chaque conflit, chaque malaise, chaque souffrance que je vivais devenait, selon lui, “le fruit de ma projection”. Il ne se remettait jamais en question. Par exemple, si je souffrais, c’était parce que j’avais un problème, parce que je voyais en lui ce que je refusais de voir en moi. Ce retournement subtil et toxique de l’effet miroir m’a plongée dans le doute de moi-même, me faisant croire que tout venait de moi, même l’inacceptable. C’est là que l’on comprend la dérive possible de ce concept. Utilisé sans discernement, ou pire, comme stratégie de manipulation, il devient une arme redoutable. Il dépossède l’autre de sa réalité intérieure, de sa capacité à dire “non”, à exprimer une blessure, à nommer un abus. Oui, l’effet miroir peut être un outil de conscience quand il est utilisé avec honnêteté et bienveillance. Mais il ne doit jamais devenir une grille de lecture absolue ni un prétexte pour justifier des comportements destructeurs. On peut vivre pleinement, en étant incarné, présent à soi, aligné, sans être constamment en train de chercher ce qui, chez l’autre, refléterait une partie de nous. Être souverain, c’est aussi savoir discerner ce qui nous appartient… et ce qui ne nous appartient pas. Pour aller plus loin: Formation en écriture thérapeutique Enfin honorer mon je suis
Quand il faut oublier les tristesses
En nous s’immiscent ces moments fragiles et secrets qu’on n’arrive pas toujours à partager de vive voix. C’est un instant troublant où le cœur se lasse de porter certaines blessures. Quand il faut oublier les tristesses, ce n’est pas pour les nier ni les fuir, mais pour leur offrir un repos, une pause, un autre souffle. Oublier les tristesses, c’est apprendre à fermer doucement les yeux tout en déposant les pierres qui alourdissaient notre poitrine, une à une, sans précipitation. Ce n’est pas oublier tout ce qui a fait mal, parce que ça ce n’est pas possible, je crois mais mais c’est faire en sorte que ce poids ne soit pas trop lourd pour toujours. C’est s’autoriser à rêver à nouveau, à sourire sans arrière-pensée, à croire en d’autres jours qui n’ont pas encore de nom. Parfois, oublier les tristesses, c’est simplement s’accorder un instant, juste un seul où le silence se fait doux, où la nuit ne mord plus sur l’oreiller de vos larmes. Dans ce petit espace, peut renaître la force d’aimer, la lumière de se relever et le courage d’aller vers demain. Quand il faut oublier les tristesses, juste un peu, un moment, il faut se laisser traverser par celles-ci en écoutant ce qui palpite encore au fond et ce qui refuse de s’éteindre, et ensuite alors on peut écrire et se libérer pour recommencer vers un autre chapitre. Et peut-être que ce nouveau chapitre ne criera pas fort.Il commencera doucement, à pas feutrés, comme une page qu’on tourne sans faire de bruit, de peur de déranger ce qui guérit encore.Il ne s’agira pas de grandes promesses, ni d’oublier tout ce qu’on a perdu, mais simplement d’être là. D’exister un peu plus pleinement, un peu moins dans l’ombre. Car oublier les tristesses, même un peu, c’est parfois juste apprendre à vivre avec elles autrement. Les apprivoiser, comme on apprivoise le silence après une tempête. On n’efface rien, non. Mais on change la façon dont on porte ce qui nous blesse. On n’est plus seulement cette douleur. On devient aussi les rires timides qui reviennent, les bras qu’on ose tendre à nouveau, les mots qu’on recommence à écrire avec espoir. Et dans cet instant suspendu entre le passé et ce qui s’en vient, on se redécouvre vivant. Un peu cabossé, peut-être. Mais capable encore d’aimer. D’être aimé. Alors, quand il faut oublier les tristesses, ne serait-ce qu’un moment, offrez-vous cela :Le droit de recommencer. Sans honte. Sans hâte. Avec tendresse. Pour aller plus loin: A toutes ces femmes qui ont courbé le dos 50 exercices d’écriture thérapeutique
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