triangle doré Isis
Le Triangle doré et l’énergie d’Isis ne sont pas seulement des techniques ou des pratiques car c’est un chemin, un souffle qui touche le corps, l’esprit et l’âme. C’est un espace de guérison, de lâcher-prise, de révélation de soi et de confiance retrouvée. C’est une invitation à se reconnecter à sa force intérieure, à son intuition, à sa créativité. Ce chemin, je l’ai expérimenté, et je souhaite aujourd’hui le partager, parce qu’il peut transformer la manière dont on se perçoit et dont on avance dans la vie. J’ai toujours été fascinée par ces énergies anciennes, celles qui traversent le temps et viennent nous toucher là où ça compte vraiment : dans notre cœur, notre intuition, notre essence. Parmi elles, il y a le Triangle Doré, découvert par James Purner en 1886. Ce praticien de Reiki raconte avoir vécu deux visions qui ont changé sa vie : il a compris que sa mission était d’accompagner les autres dans leur chemin spirituel. Il y a quelque temps, j’ai moi-même eu l’occasion de vivre une séance de soin avec l’énergie du Triangle doré et d’Isis. Je souhaite partager cette expérience ici, parce qu’elle m’a profondément touchée et transformée, et qu’elle me semble importante à connaître pour quiconque cherche à explorer cette énergie. Allongé sur son lit après une méditation, James Purner raconte qu’une force intense a touché son troisième œil, le laissant immobile pendant deux heures. Dans ce silence imposé, il a compris que la déesse Isis était la source de cette énergie, et que sa mission était de la transmettre, à travers le temps et l’espace. Une énergie ancienne et puissante Le Triangle doré et l’énergie d’Isis est un système spirituel issu de l’Égypte ancienne, directement lié à Isis. Il ne se contente pas de soigner : il active la croissance personnelle, stimule l’intuition et ouvre la voie à un véritable travail sur soi. On peut l’utiliser : Isis, la déesse guérisseuse Isis, dont le nom signifie “trône”, est la figure féminine par excellence : mère, sœur, épouse, protectrice, guérisseuse. Elle incarne le féminin sacré, la vie, la régénération. Dans l’histoire égyptienne, elle protège les rois défunts et inspire la régénération. Plus tard, elle devient une déesse universelle, invoquée à travers le bassin méditerranéen, symbole de créativité, d’intuition et de force intérieure. Les bienfaits des soins inspirés par Isis Travailler avec l’énergie du Triangle Doré, c’est inviter : Pour ma part, cette expérience m’a permis de ressentir profondément l’énergie d’Isis, de me reconnecter à moi-même et d’ouvrir un espace de clarté et de calme intérieur. Elle m’a rappelé à quel point notre corps, notre esprit et notre âme peuvent se réaligner lorsque l’on s’autorise à recevoir ces énergies. Ces soins ne se contentent pas de soulager : ils ouvrent un espace où l’on peut se réapproprier sa force intérieure et laisser émerger une nouvelle clarté. Et c’est exactement ce que j’ai ressenti, et ce que j’ai envie de partager avec vous aujourd’hui. Pour aller plus loin Si vous sentez l’envie de découvrir cette énergie et de vous offrir un moment de soin profond, vous pouvez prendre rendez-vous directement via le site maenetsens.com ou par téléphone au 06 99 27 94 09. C’est un voyage intime, puissant et transformateur qu’Estelle sera ravie de partager avec vous. Pour ma part, ce soin m’a ouvert des portes insoupçonnées : il a nourri mon inspiration, développé mon écriture thérapeutique, et m’a permis d’explorer de nouvelles formes de narration. C’est dans cette énergie que j’ai écrit ma première romance érotique, “À bout de souffle interdit”, disponible sur mon site et sur Amazon. Ces expériences montrent à quel point la guérison intérieure peut se transformer en création, et comment chaque soin peut devenir une étincelle de transformation personnelle et artistique. A bout de souffle interdit 4 rituels d’écriture thérapeutique
Hypnose de spectacle : à la croisée du visible et de l’âme
Hypnose de spectacle : à la croisée du visible et de l’âme Hypnose de spectacle : à la croisée du visible et de l’âme, cette formule pourrait sembler paradoxale à première vue. Pourtant, elle révèle l’essence profonde de cet art fascinant. Il ne s’agit pas seulement d’induire le sommeil ou de faire rire un public, mais bien d’explorer ce que le conscient cache et ce que l’âme ose révéler. Il y a, dans la lumière des scènes, des gestes invisibles, des silences habités, des regards qui basculent aussi et qui peuvent réveiller chaque être présent.L’hypnose de spectacle n’est pas ce qu’elle paraît être. Elle ne se résume pas aux rires qu’elle déclenche, ni aux prouesses qu’elle révèle. Elle est passage et franchissement. C’est un rendez-vous intime avec l’inconscient. Quand un hypnotiseur parle, c’est à l’âme qu’il s’adresse aussi tout doucement, sans l’effrayer, sans la brusquer. Et parfois, sur scène, un être glisse hors de son masque. Et il se découvre. Il ne joue plus. Il se retrouve dans une partie de lui-même qu’il n’avait peut-être jamais imaginée. C’est ce fil secret, cette tension douce entre le spectacle et l’éveil, qu’Olivier Reivilo saisit avec justesse dans son guide sur l’hypnose de spectacle. Il y partage plus que des techniques, c’est une vision, une présence, une invitation à écouter ce qui murmure derrière l’illusion. L’hypnose de spectacle est à la croisée du visible et de l’âme. Hypnose de spectacle, de la scène à soi : un mouvement intérieur On croit que l’hypnose est une perte de contrôle. Mais souvent, elle est un retour à soi, à un soi que l’on avait mis de côté, oublié, enfoui.L’hypnose de spectacle, quand elle est pratiquée avec respect, devient un écrin de vérité. Ce n’est pas un jeu de pouvoir. C’est un espace de résonance. Et Olivier Reivilo le respecte amplement. “Tout est déjà là. L’hypnose ne crée rien. Elle révèle.”Olivier Reivilo Ce que le guide d’Olivier nous montre, c’est que le spectacle peut être un rituel, une porte entrouverte sur des mémoires, des élans, des émotions enfouies.Et pour celui ou celle qui accepte de plonger, c’est parfois le début d’une métamorphose douce.Une peur qui s’allège. Une timidité qui se libère. Une image de soi qui s’ouvre. L’hypnose comme outil de réappropriation de soi Être hypnotisé, c’est, parfois, reprendre possession de son espace intérieur. Dire oui, là où l’on disait toujours non. Se laisser être, là où l’on fuyait. De la même manière, dans son guide, Olivier Reivilo invite à l’écoute subtile. Il ne dresse pas un manuel froid. Il écrit comme on tend une main. Avec respect, avec profondeur. Il rappelle que l’hypnose de spectacle peut être un soin à l’âme autant qu’un art scénique. Quand le public devient témoin d’un éveil Ce que vit la personne sur scène n’est pas qu’un moment drôle ou troublant. C’est souvent un bouleversement discret.Et le public, sans toujours le comprendre, devient témoin d’une bascule. Car l’hypnose, même dans un cadre spectaculaire, a ce pouvoir singulier : réconcilier le conscient et l’invisible. Elle trace des ponts. Elle restaure des espaces. Elle apaise des mémoires. Dans le monde de la performance, rares sont les arts qui, comme l’hypnose, touchent aussi intimement l’humain dans sa vulnérabilité. L’hypnose de spectacle: un art, une voie, un retour L’hypnose de spectacle, telle que la partage Olivier Reivilo, est un chemin de transformation voilé sous les rires.Elle n’a rien de superficiel quand elle est habitée d’intention. Elle peut être catalyseur de vérité, tremplin vers la réconciliation intérieure, miroir tendu à ceux qui cherchent à renaître. Le guide qu’il propose est un compagnon précieux, non pour manipuler mais pour accompagner, respecter, ouvrir.Il s’adresse à l’artiste, au thérapeute, à l’âme curieuse. À chacun qui ressent que le vrai spectacle commence quand l’être s’éveille. Pour vous procurer le livre d’Olivier Reivilo: Hypnose de spectacle L’hypnose et l’écriture: deux voies vers sa transformation personnelle
L'envol du condor
L’envol du Condor, quand la fiction devient mémoire ancestrale… Et s’il existait encore, quelque part, un souffle oublié ? Un souffle porté par les vents anciens, par les prières silencieuses des Kogis, ces gardiens de la Terre qui n’ont jamais cessé de croire à l’équilibre du monde ? Dans son roman puissant et visionnaire L’Envol du Condor, Louise de Morlay tisse une toile sacrée entre passé et futur, visible et invisible, pour nous offrir une œuvre à la fois prophétique, poétique et profondément spirituelle. Ce livre est bien plus qu’un simple récit d’anticipation. C’est un appel à l’éveil, une invitation à retrouver notre essence perdue à travers une prophétie millénaire. L’envol du Condor, un voyage initiatique entre lumière et ombre L’an 2180. La Terre ne ressemble plus à celle que nous connaissons. Les secousses du XXIᵉ siècle, des crises climatiques, effondrements sociaux, pertes de repères ont laissé derrière elles un monde fracturé. Mais comme souvent, c’est dans les ruines que germent les graines de renouveau. C’est dans ce contexte que naît Leisa, une enfant lumière, héritière d’une prophétie cachée au cœur des montagnes sacrées. Choisie par les anciens, guidée par l’intuition des peuples premiers, elle est promise à une mission bien plus grande qu’elle, rallumer l’espérance dans le cœur des hommes. À ses côtés, Zachel, âme sœur et gardien, la soutient dans un périple autant géographique que mystique. À travers plaines désertées, cités en ruine, temples oubliés, ils suivent les signes, affrontent les ténèbres et révèlent une vérité universelle : la lumière existe en chacun, il suffit d’oser la réveiller. L’envol du Condor, un roman spirituel et futuriste, miroir de notre temps L’Envol du Condor s’impose comme un roman aux multiples visages. C’est un récit d’anticipation, oui, mais jamais technologique ou froid. C’est aussi un roman d’amour éternel, où le lien entre Leisa et Zachel transcende le temps, les épreuves, les doutes.Et c’est surtout une œuvre profondément spirituelle, inspirée des sagesses autochtones, de la mémoire cellulaire et des lois naturelles de l’univers. Louise de Morlay maîtrise l’art de nous faire voyager au-delà des mots. Sa plume est vibrante, habitée, presque chamanique. Chaque chapitre nous ramène à notre propre quête intérieure, à cette question que tout lecteur finira par se poser cette question fondamentale:“Et moi, où est ma lumière ? Suis-je prêt(e) à la laisser s’envoler ?” À qui s’adresse ce roman ? À celles et ceux qui ressentent l’appel du sacré, du silence derrière les apparences, de la beauté qui ne s’explique pas mais qui se reconnaît au frisson qu’elle provoque. Ceux pour qui chaque instant peut devenir un rituel, chaque rencontre une initiation. À toutes les âmes qui portent en elles une vision du monde plus juste, plus humaine, plus reliée.Des êtres en quête de lien authentique, de respect du vivant, d’une manière nouvelle – ou très ancienne – de marcher sur la Terre, en conscience. À tous les amoureux de romans prophétiques, d’histoires spirituelles, où la trame de l’univers se dévoile dans la fragilité des êtres, dans la force des symboles, dans les murmures du destin.Là où l’amour et la foi ne sont pas naïveté, mais armes de lumière face à l’obscurité du monde. À celles et ceux qui cherchent la vérité, non pas dans les dogmes, mais dans la vibration intérieure.À ceux qui aspirent à une liberté profonde, à la paix de l’âme, à cette joie tranquille née du souvenir de qui nous sommes vraiment. Ce que vous trouverez dans L’Envol du Condor -Une prophétie ancestrale, transmise dans le secret des peuples racines, et révélée au moment où l’humanité en a le plus besoin. -Une histoire d’amour éternel, puissante, vibrante, guidée non par la passion éphémère mais par l’évidence d’un lien d’âme. -Un récit initiatique mêlant spiritualité, aventure, conscience et espoir, à la croisée des mondes visibles et invisibles. Des personnages incarnés, profonds, touchants, qui vous habitent bien après la dernière page, comme des compagnons de chemin. Une plume poétique et habitée, qui élève l’âme, éclaire le cœur et vous laisse ce sentiment rare : celui d’avoir été transformé(e) en douceur, depuis l’intérieur. Pour vous procurer le livre: L’envol du condor
Rituels d'écriture thérapeutique
4 rituels d’écriture thérapeutique pour se libérer, pour vivre à nouveau pleinement. Il y a des mots qu’on a tus trop longtemps. Ce sont des phrases jamais prononcées, des vérités retenues derrière les dents, comme si le monde n’était pas prêt ou que nous ne l’étions pas. Et pourtant, au fond du ventre, dans le creux du cœur, quelque chose continue de murmurer comme un écho, une tension, un appel. Écrire devient alors un chemin, un geste de retour à soi. Ce n’est pas une performance, ni une posture. Cela devient une permission, celle de déposer, de transmuter, de panser par les mots ce que la vie a parfois blessé en silence. Dans la lignée de mes livres publiés sous le nom de Nelly Delas, tels que Le guide de l’autothérapie par l’écriture ou 50 exercices d’écriture thérapeutique, je t’invite ici à découvrir quatre rituels d’écriture thérapeutique, simples et puissants, pour ouvrir un espace à l’intérieur de toi. ÉCRIRE POUR DIRE CE QUI N’A PAS ÉTÉ DIT Exercice 1 : La lettre jamais envoyée Écris à quelqu’un à qui tu n’as jamais pu parler vraiment : un parent, un ex, un proche disparu, une version ancienne de toi.Dis-lui tout. Le vrai, le brut, le tendre, le douloureux.Ne te retiens pas. Il n’y a personne pour juger ici.Quand c’est fini, brûle ou enterre cette lettre. Ou relis-la comme un rite de clôture.Écrire pour poser le point final à ce qui restait ouvert. ÉCRIRE AVEC TES ÉMOTIONS, PAS CONTRE ELLES Exercice 2 : La page émotion Choisis une émotion qui te traverse souvent — tristesse, peur, colère, joie…Écris une page en laissant cette émotion s’exprimer.Tu peux commencer par : « Colère, qu’as-tu à me dire aujourd’hui ? »Laisse la colère écrire. Laisse la tristesse pleurer à travers tes mots.Tu ne l’écris pas pour l’analyser. Tu l’écris pour l’écouter. ÉCRIRE CE QUE TU AURAIS AIMÉ ENTENDRE Exercice 3 : Les mots manquants Ferme les yeux. Revie un moment de ta vie où tu aurais eu besoin d’être réconforté·e, soutenu·e, encouragé·e.Puis écris ce que tu aurais aimé qu’on te dise à ce moment-là.Fais-le avec douceur. Comme si c’était ton âme qui parlait à ton cœur.Ces mots, tu peux les relire chaque fois que tu en as besoin.Tu peux même les enregistrer avec ta propre voix. ÉCRIRE AVEC TON CORPS Exercice 4 : Mon corps se souvient Commence ton texte avec la phrase : « Mon corps se souvient de… »Et laisse venir. Une image. Une sensation. Un moment précis.Ne cherche pas à comprendre. Laisse le corps te guider.Parfois, il se souvient d’un lieu, d’un effleurement, d’un frisson.Parfois, il révèle un choc enfoui.Écrire, ici, c’est retrouver ton langage cellulaire. POUR ALLER PLUS LOIN : Ma formation en écriture thérapeutique Ma formation est pédagogiquement construite pour que tu puisses retrouver ton propre pouvoir en réalisant un processus d’écriture thérapeutique en 7 modules. S’épanouir grâce à l’écriture thérapeutique ATELIERS ET ACCOMPAGNEMENTS Je propose des ateliers d’écriture thérapeutique et intuitive, en ligne ou en présentiel, pour celles et ceux qui souhaitent :– écrire en profondeur– se reconnecter à leur intuition– traverser une étape de vie– libérer des mémoires par le mot Écrire, c’est parfois pleurer à travers l’encre.C’est aussi renaître à travers elle.Que tes mots deviennent refuge, feu et passage.Et que l’écriture t’offre ce que la vie t’a parfois refusé :l’espace d’être, sans condition.
Ecrire avec l'invisible
Écrire avec l’invisible, c’est tendre l’oreille à ce qui ne fait pas de bruit. C’est s’asseoir face à la page blanche comme on s’assoit face au feu, pour écouter ce qui brûle doucement derrière les voiles du monde. Ce n’est pas une écriture de surface, ni de performance, c’est une écriture d’alliance et de profondeur avec soi. L’écriture avec l’invisible se tisse avec l’ombre, avec la mémoire ancienne, avec les voix qui parlent sans mots. Écrire avec l’invisible, c’est parfois ne pas savoir d’où viennent les phrases, mais sentir qu’elles savent où elles vont. C’est laisser le corps devenir passage, le cœur devenir antenne. C’est traduire les frissons, les visions, les silences pleins. C’est écrire non pas pour expliquer, mais pour révéler. Pour poser des mots sur ce qui palpite dans l’intime, pour accueillir ce qui vient sans forme, mais chargé de sens. C’est une danse lente, souvent fragile, entre soi et ce qui nous dépasse un peu.Écrire avec l’invisible, c’est se laisser traverser. C’est faire confiance à ce qui émerge dans l’instant, sans chercher à corriger, à ordonner, à maîtriser. C’est une écriture qui écoute plus qu’elle ne dirige. Une écriture qui se fait humble, poreuse, presque chuchotée. Deux exercices pour s’ouvrir à l’écriture de l’invisible : 1. L’écriture en état modifié :Installe-toi dans un endroit calme. Ferme les yeux. Respire profondément quelques minutes. Pose une intention intérieure, comme : « Je me rends disponible à ce qui veut être écrit à travers moi. » Puis, ouvre un carnet, une page blanche, et commence à écrire sans réfléchir. Ne relis pas, ne corrige pas, ne t’interromps pas. Laisse venir. Cela peut ressembler à un rêve, à un poème flou, à une voix ancienne. Accueille ce qui se manifeste. 2. L’écriture depuis un symbole :Choisis un objet ou un élément naturel (une plume, une pierre, une bougie, une photo, une branche, etc.). Observe-le longtemps, comme s’il avait un message à te transmettre. Quand tu sens un écho intérieur, commence à écrire comme si c’était lui qui te parlait. Laisse surgir ce que cet objet, chargé de présence, murmure à ton âme. Là aussi, ne cherche pas à comprendre. Laisse l’invisible te guider. Pour approfondir cette pratique, je propose des ateliers dédiés à l’écriture intuitive et à la connexion avec l’invisible. Ces espaces sont conçus pour t’accompagner à travers des rituels d’écriture, des temps de méditation, des partages en cercle et des explorations créatives. Ensemble, nous apprendrons à écouter cette voix intérieure, à accueillir les messages du corps et de l’âme, et à libérer une écriture authentique qui traverse le visible et l’invisible.Ces ateliers sont autant d’invitations à renouer avec ta sensibilité profonde, à cultiver la présence et à laisser jaillir ce qui veut éclore.Si tu souhaites te lancer dans ce voyage d’écriture sacrée, n’hésite pas à me contacter. Pour aller plu loin: Mes coaching
Je tremble quand j'écris
Je tremble quand j’écris.C’est un frisson léger, presque imperceptible qui part de l’intérieur, du fond de l’estomac et qui se propage jusque dans mes doigts. Comme si chaque mot était une petite étincelle, une braise qui pourrait tout embraser ou bien se consumer en silence. J’ai peur parfois. C’est une peur sourde, discrète que mes mots, une fois écrits, ne deviennent des vérités incontournables, gravées dans le marbre des pensées des autres, comme si ce que je disais était une loi, une règle inaltérable qui s’impose sans appel, sans discussion.Je les vois se déformer, ces mots, pris dans l’air de l’interprétation, pris dans le vent de l’imaginaire des autres. C’est comme si chaque phrase que je trace portait en elle le poids de l’univers, comme si mes pensées, effleurées par le stylo prenaient une consistance nouvelle, qu’elles se transformaient en vérités, en révélations, qui se bousculent pour faire frissonner le cœur ballant, celui de ceux qui les lisent.Je tremble, oui, car une fois partagés, mes mots ne m’appartiennent plus.Ils prennent leur envol, ils deviennent le reflet de celui qui les reçoit, et je ne peux plus rien y changer. Il y a cette crainte, sourde et lancinante que mes mots se fassent plus grands que moi, plus puissants que ma propre compréhension, qu’ils m’échappent et qu’ils créent des montagnes là où il n’y avait que des collines.Je les regarde, impuissante, se faire déchiffrer, tordre, façonner, dans des contextes qui ne leur appartiennent pas, dans des mondes qui les transforment en autre chose, quelque chose que je n’avais pas voulu dire, quelque chose que je ne voulais pas être. Je tremble car il y a un courage dans chaque mot, un courage qui consiste à poser la vérité nuesans savoir ce qu’elle deviendra une fois sortie. Et pourtant, je continue à écrire, à offrir ma vérité fragile au monde, parce que, dans ce tremblement, je trouve aussi une forme de liberté.Liberté de dire, liberté de risquer l’incompréhension, liberté d’ouvrir une porte sans savoir ce qu’il y a derrière.Parce que l’écriture, malgré la peur, est un élan vers l’inconnu, et dans chaque tremblement, peut naître une forme d’authenticité. Pour aller plus loin: Ecrire l’histoire de votre vie, comment commencer? 50 exercices d’écriture thérapeutique
Des bouts de soi
Des bouts de soi, des bouts de son âme, des bouts de son cœur, des bouts d’écriture dans des silences. Des miettes laissées exprès pour qu’on puisse retrouver le chemin.Des bouts de soi comme dans les contes mais ici, la forêt est intérieure et les loups ne mordent pas, ils pleurent doucement dans la nuit. Des bouts de soi comme on écrit, comme on respire sous l’eau par sursauts, par besoin. Pas pour dire, pour ne pas se noyer. Chaque mot est un petit linge étendu au soleil, un aveu discret que l’on ne fait à personne sauf peut-être au vent. On ne sait jamais très bien ce qu’on dépose sur la page peut-être un souvenir qui grelotte, peut-être une larme qui ne voulait pas tomber. Il y a des silences plus pleins que tous les cris. Dans ces silences-là, on sent que quelque chose en nous regarde doucement les choses passer, un oiseau fatigué sur le bord d’une branche, une lampe oubliée allumée dans une chambre vide, un cœur qui continue d’aimer même quand il n’y a plus personne à attendre. Ce sont des bouts de soi, ces bouts-là qu’on sème, non pour qu’ils repoussent, mais pour qu’ils reposent. Pour aller plus loin: Enfin honorer mon je suis Ecrire ses pensées intimes
Ecrire ses pensées intimes
Écrire ses pensées intimes Écrire ses pensées intimes, c’est ouvrir une porte sur l’invisible, laisser couler l’encre comme on laisserait couler des larmes, des frissons, des aveux que l’on n’oserait confier à personne. C’est déposer sur le papier ce que l’on tait au monde, ce qui brûle sous la peau, ce qui nous façonne en silence et qui a besoin de sortir de son intériorité. Il y a quelque chose de presque sacré dans cet acte intime. Comme un dialogue avec soi-même, un miroir tendu à l’âme, une confidence. On y couche nos doutes et nos élans, nos cicatrices et nos espoirs, sans crainte d’être jugé. Les mots deviennent un refuge, une catharsis, un lieu où l’on peut être entier, sans filtres ni masques. C’est le pouvoir de cette écriture intime et thérapeutique. Écrire l’intime, c’est aussi prendre le risque d’exister pleinement. Car lorsque les mots sortent de l’ombre, ils nous dévoilent forcément. Ils mettent en lumière ce que nous préférerions parfois enfouir. Pourtant, c’est dans cette mise à nu que l’on se trouve, que l’on comprend mieux qui l’on est et ce que l’on ressent. Et même si ces écrits restent secrets, enfermés dans un carnet, dans un journal intime ou entre les lignes d’un fichier oublié, ils témoignent de notre passage, de nos rêves, de nos blessures. Ils sont les empreintes invisibles de notre vérité aux yeux des autres mais visibles sur notre carnet d’écriture thérapeutique. Une méthode pour écrire ses pensées intimes Écrire ses pensées intimes demande une forme de lâcher-prise, un espace où l’on s’autorise à être sincère sans craindre le regard des autres. Je vous propose une méthode en quelques étapes pour plonger dans cet exercice libérateur : 1. Créer un espace propice Trouvez un endroit où vous vous sentez en sécurité, un moment où vous pouvez être seul avec vos pensées. Que ce soit dans un carnet, un fichier sur votre ordinateur ou une lettre que vous n’enverrez jamais, choisissez un support qui vous semble naturel. 2. Commencer sans filtre Ne cherchez pas tout de suite à écrire « bien ». Laissez les mots venir comme ils se présentent, sans vous censurer. Acceptez les hésitations, les répétitions, le désordre : c’est ainsi que l’authenticité naît sur le papier. 3. Utiliser une amorce si nécessaire Si vous ne savez pas par où commencer, essayez des phrases déclencheuses : Ces amorces peuvent vous guider vers des pensées enfouies. 4. Explorer ses émotions en profondeur Plutôt que de rester en surface, creusez chaque sentiment : pourquoi ressentez-vous cela ? Quels souvenirs ou événements l’accompagnent ? Laissez-vous porter par le flux de vos émotions, sans peur d’aller trop loin. Pour aller plus loin dans l’exploration de votre écriture intime: Le guide de l’autothérapie par l’écriture Ecrire quand on est hypersensible
Certains amours ne s'effacent pas
Certains amours ne s’effacent pas, même lorsqu’ils n’ont pas eu de lendemain. Ils deviennent une part de nous comme une douce mélancolie qu’on porte sans bruit, et qui, parfois, dans le silence de la nuit, vient effleurer notre cœur perdu. Ce ne sont pas forcément des regrets, ni même des blessures encore ouvertes, mais plutôt des échos d’un passé qui a compté pour nous. Ce sont des visages que l’on revoit furtivement dans un rêve, une voix qui ressurgit au détour d’une chanson, un frisson qui traverse l’âme sans prévenir et qui nous saisit à la dérobée sans que nous puissions faire quoique ce soit. Bien sûr qu’après ces amours avortés, perdus, on continue d’aimer ailleurs et autrement. On construit, on avance, on se donne tout entier aussi. Mais il arrive que, dans un battement d’absence, dans un regard posé sur l’horizon, ce souvenir de cet amour effacé refasse surface. Pas pour nous détourner du présent, non, mais pour nous rappeler que l’amour, même éphémère, laisse toujours une empreinte en nous. Et peut-être est-ce cela, finalement, la beauté des amours impossibles car ils ne meurent jamais vraiment. Ils deviennent des murmures dans le vent, des battements d’ailes invisibles qui accompagnent notre histoire, même quand on croit les avoir oubliés. Ces amours tracent près de nous un cœur de plumes figées dans le temps, légères et insaisissables, mais toujours présentes comme un souffle discret qui effleure la peau sans jamais disparaître. Ces amours-là restent là, suspendus entre hier et aujourd’hui, dans un coin de notre mémoire, dans l’ombre de nos silences.Ces amours ne s’effacent pas et ils ne pèsent pas, ne blessent plus, mais ils rappellent, par instants, ce qui aurait pu être. Parfois, il suffit d’un parfum, d’une mélodie, d’un frisson inattendu au creux de la nuit pour que ces plumes frémissent à nouveau nous rappelant que certains battements de cœur ne cessent jamais tout à fait de résonner. Pour aller plus loin dans l’écriture thérapeutique: Le carnet ” Je t’aime” Le guide de l’autothérapie par l’écriture
Les cicatrices muettes du corps féminin
Les cicatrices muettes du corps féminin sont des murmures, des secrets que seule la peau porte. Invisibles aux yeux des autres, elles racontent des histoires profondes, tissées de souffrances, de joies éphémères et de renaissances silencieuses. Chaque marque, chaque ligne tracée dans la chair, est le témoin d’une vie vécue avec sa lumière et son ombre. Elles ne parlent pas, mais elles murmurent doucement aux âmes sensibles, celles qui savent écouter le silence des blessures. Il y a ces cicatrices qui sont visibles, comme des souvenirs gravés dans le temps : un ventre transformé par la maternité, des traces laissées par une maladie, des sillons marqués par des pleurs ou des rires. Mais il y a aussi celles qui se cachent, discrètes et secrètes, là où les mots ne peuvent pénétrer. Elles sont les cicatrices invisibles, celles qui prennent racine dans le cœur, dans l’esprit, là où la peau n’atteint pas, mais où tout se forge. Le corps féminin devient une terre empreinte de récits d’amour, de pertes, de renoncements, mais aussi de renaissances. Chaque cicatrice est une victoire discrète, une preuve que malgré la douleur, malgré les fêlures de l’âme, il y a un après. Ces marques ne sont pas des faiblesses, mais des signes de force, des témoins d’une résilience infinie, douce et silencieuse. Elles présagent l’histoire d’une femme qui, même abîmée, continue de s’épanouir, de se redresser, de sourire au monde. Les cicatrices muettes du corps féminin ne demandent pas la pitié, elles réclament simplement une reconnaissance discrète. Elles sont là pour rappeler que derrière chaque douleur, derrière chaque frissonnement du corps, se cache une âme qui, dans sa fragilité, trouve la force de se reconstruire, encore et encore. Ces cicatrices sont des poèmes, écrits sur la peau avec l’encre du temps, des mots d’amour et de résilience que le vent emportera, mais qui, au fond, resteront gravés à jamais dans le silence de l’être. Ces cicatrices muettes racontent des vies tissées de silences et de soupirs, de blessures et de guérisons. Le corps féminin, avec sa peau fragile et ses courbes pleines de mystères, devient un carnet intime où chaque pli, chaque marque, chaque trace est un mot non prononcé, une histoire non dite. Parfois, ces cicatrices, comme des fleurs sauvages, éclosent sous la pression du temps, se nourrissent des expériences vécues. Elles ne se souviennent pas seulement de la douleur, mais aussi de la douceur des moments qui ont apaisé le tourment. Elles sont la mémoire d’un amour passé, d’une rencontre, d’un geste doux qui a effleuré la peau avant de se perdre dans l’immensité des jours. Elles sont l’empreinte des luttes, de la force secrète qu’une femme se déploie pour se relever après chaque chute. Et pourtant, elles ne réclament rien. Elles ne demandent pas de reconnaissance, juste d’être là, dans leur beauté discrète, comme des poèmes écrits en silence, comme des œuvres d’art qui ne se dévoilent qu’à ceux qui savent regarder avec délicatesse. Dans leur silence, elles nous parlent des fragilités et des forces, des rêves et des déceptions, des moments où le corps a failli, mais a finalement résisté. Chaque cicatrice est un hymne à la vie, une chanson silencieuse qui résonne dans l’air. Elles nous rappellent que le corps féminin, bien qu’il semble parfois brisé, est un temple de résilience, où les blessures subissent des enseignements, des invitations à aimer la vie dans sa totalité, avec ses lumières et ses ombres. Ces cicatrices sont les pages d’un livre ouvert. Elles sont la mémoire d’un corps qui se relève, qui se transforme, qui devient plus fort, plus beau, dans la douce acceptation de ses imperfections. Exercice d’écriture : Libérer les cicatrices du corps féminin Maintenant, prenez un instant pour écrire une lettre à votre corps. Parlez-lui comme à un ami proche, avec bienveillance. Une fois l’exercice terminé, vous pouvez soit garder ces écrits pour vous, soit les relire à voix haute, avec douceur. Si vous vous sentez prête, laissez-les partir, soit en les brûlant avec gratitude, soit en les noyant dans l’eau, comme un acte de lâcher-prise. Chaque mot, chaque émotion que vous avez libérée appartient désormais au vent, au monde, à votre liberté retrouvée. Pour aller plus loin dans l’écriture thérapeutique: Le guide de l’autothérapie par l’écriture Nos coeurs rafistolés, la résilience existe-t-elle vraiment?
L'amitié, véritable trésor de la vie
L’amitié, véritable trésor de la vie, est l’un des liens les plus précieux que nous puissions tisser. Elle transcende le temps, dépasse les épreuves, et parfois même les distances. Pourtant, si toutes les amitiés laissent leur empreinte, celles nées dans l’enfance possèdent une saveur particulière. Ce sont ces amitiés fondatrices, empreintes d’innocence et de spontanéité, qui forgent notre manière d’aimer et de nous relier aux autres. Le roman Elle, lui et la Mer d’Hélène Appert illustre avec brio cette essence unique de l’amitié, tout en explorant ses complexités et sa résilience face au passage du temps. L’amitié : un miroir de nous-mêmes À travers le parcours de Merryl et de ses amis, le livre montre à quel point l’amitié est un miroir de nos propres évolutions. Quand nous sommes enfants, nos amis deviennent nos premiers complices dans la découverte du monde. Ensemble, nous affrontons les vagues de la vie avec insouciance, forgeant des souvenirs qui deviendront des points de repère dans notre existence. Ces souvenirs, que Merryl redécouvre en retournant à Bellavista, nous rappellent que l’amitié est aussi un espace de vulnérabilité partagée. Ces instants où nous avons osé être nous-mêmes, sans peur d’être jugés, laissent une empreinte indélébile. Jeff, Almira et les autres ne sont pas seulement des personnages secondaires dans la vie de Merryl : ils sont une partie intégrante de son identité. Chaque éclat de rire, chaque promesse faite sous un ciel étoilé, chaque moment de doute partagé sur la plage a contribué à construire la femme qu’elle est devenue. Les saisons de l’amitié : un cycle inévitable Mais comme les marées qui vont et viennent, l’amitié suit un cycle. Certaines relations résistent au temps, s’approfondissent et s’adaptent aux évolutions de la vie. D’autres s’étiolent, laissant derrière elles un doux mélange de nostalgie et de regret. Dans Elle, lui et la Mer, le retour de Merryl dans son village natal met en lumière cette vérité universelle : si les liens d’amitié peuvent s’estomper, leur impact, lui, reste intact. Ce roman aborde aussi la question des amitiés brisées. Parfois, ce sont les non-dits, les malentendus ou les drames imprévus qui fissurent ces liens autrefois indestructibles. La disparition d’un des membres du groupe, centrale dans l’intrigue, devient le catalyseur d’une introspection collective. Elle met à nu les tensions latentes, les douleurs enfouies et les chemins divergents que chacun a empruntés. La mer : une métaphore de l’amitié La mer, omniprésente dans le roman, agit comme une métaphore puissante de l’amitié. À la fois immuable et changeante, elle symbolise la profondeur et l’imprévisibilité des liens humains. Parfois calme et apaisante, elle offre un refuge. Parfois agitée, elle rappelle que l’amitié, comme la mer, peut être tumultueuse, exigeante, et même destructrice. Les personnages du roman trouvent dans la mer un écho à leur propre existence. Elle est le témoin silencieux de leurs joies et de leurs peines, mais aussi le ciment qui les unit malgré les épreuves. De la même manière, nos propres amitiés sont souvent façonnées par un « lieu », qu’il s’agisse d’un quartier, d’un café, ou d’un rivage, où les souvenirs se cristallisent. Pourquoi l’amitié est-elle si essentielle ? L’amitié, au-delà des mots et des souvenirs, répond à un besoin humain fondamental : celui d’être compris et accepté. Elle est un espace où nous pouvons exprimer nos vérités sans filtre, un lieu de réconfort face aux aléas de la vie. Mais elle est aussi une école de la vie. Elle nous apprend l’écoute, le compromis, et parfois, le pardon. Dans un monde où les relations peuvent sembler de plus en plus superficielles, les amitiés profondes et durables deviennent un ancrage essentiel. Elles nous rappellent que l’authenticité et la confiance ne se trouvent pas dans la quantité, mais dans la qualité des liens. Redécouvrir l’essence de l’amitié à travers le roman Elle, lui et la Mer nous invite à réfléchir sur nos propres relations. Quels sont les amis qui ont marqué notre vie ? Quels souvenirs, parfois enfouis, refont surface lorsque nous fermons les yeux et laissons notre esprit vagabonder ? Ce livre est une célébration des amitiés perdues, retrouvées, ou tout simplement transformées. Il nous pousse aussi à renouer avec notre propre Bellavista, ce lieu imaginaire ou réel qui contient l’essence de nos liens les plus précieux. Peut-être est-ce une maison, une plage, ou même un simple banc de parc. Là où les éclats de rire, les promesses, et les silences complices continuent de résonner, malgré les années. En somme, ce roman est une ode à l’amitié, cette force invisible qui nous construit, nous bouleverse et nous accompagne, comme une mer éternelle qui, bien que changeante, demeure toujours présente au fond de notre cœur. Pour vous procurer le roman d’Hélène: Elle, lui et la mer
J'ai arrêté de parler avec ceux qui ne m'écoutaient pas
J’ai arrêté de parler avec ceux qui ne m’écoutaient pas avec ceux qui sont là pour de faux, avec ceux qui croient tout savoir sans jamais véritablement se mettre à votre place un peu, juste un peu. Je me suis longtemps épuisée à croire que je pouvais tout confier à n’importe qui. Mais j’ai compris, parfois dans la douleur, que toutes les oreilles ne savent pas écouter et que tous les cœurs ne savent pas accueillir ce qu’on y dépose. J’ai compris que le partage n’a de sens que lorsqu’il est reçu avec respect, avec cette attention sincère qui dit : “Je te vois. Je t’entends. Ce que tu sens compte pour toi mais aussi pour moi.” Alors, j’ai arrêté. J’ai arrêté de chercher des refuges là où il n’y avait que des murs et un froid glacial qui me paralysait à chaque tentative. J’ai cessé d’expliquer, de me justifier, de m’épuiser à vouloir être comprise par ceux qui n’en avaient pas envie, ou pire, par ceux qui prenaient mes mots comme une faiblesse à exploiter. Et vous savez quoi ? Cela m’a libérée de prendre cette décision car nous n’avons pas besoin d’être entourés de trop de personnes. J’ai appris à choisir avec soin à qui je confiais mes pensées, mes doutes et mes blessures. J’ai découvert la douceur du silence bienveillant, celui qui n’est pas vide, mais chargé de respect et d’amour pour soi-même. Parler à tout le monde, c’est parfois comme jeter des graines dans le vent. Mais parler à ceux qui vous regardent avec des yeux d’âme, c’est semer dans un sol fertile. Alors j’ai choisi mes sols d’amour. J’ai choisi les regards qui ne fuient pas, les présences qui n’ont pas besoin de mots pour dire “je suis là”. Et j’ai appris, aussi, à garder pour moi certains fragments de mon histoire intime. Parce que tout n’a pas besoin d’être exposé. Parce que certains morceaux de nous sont trop précieux pour être laissés à la merci d’une compréhension superficielle. Je me suis retrouvée dans cette solitude choisie. J’ai compris que ce n’était pas un isolement, mais un tri, une purification, un acte d’amour envers moi-même. Et, étrangement, c’est là, dans ce calme retrouvé, que j’ai commencé à entendre ma propre voix plus clairement. Celle qui ne m’avait jamais abandonnée, mais que j’avais trop souvent noyée dans le bruit des autres. Pour aller plus loin: Force et patience sont nos victoires silencieuses Coaching en écriture intuitive
Les silences dans l'amour
Les silences dans l’amour sont comme des échos des mots non prononcés et qui restent au plus profond de notre âme. Il existe, dans chaque relation humaine, un territoire fait de silences, de non-dits et de mots qui se coïncident quelque part entre le cœur et les lèvres. Ces absences de paroles, pourtant si présentes, sculptent nos relations autant que les mots échangent. Dans Elle, lui et la Mer , d’Hélène Appert, ce sont justement ces silences, ces vérités retenues et ces “je t’aime” avortés qui donnent à l’histoire une profondeur émouvante. Le roman explore avec finesse la manière dont les silences peuvent à la fois protéger et fragiliser les liens, tout en nous rappelant que, malgré les années, on n’oublie jamais ce que l’on a vécu. Les silences dans l’amour : un langage à part entière Dans le couple formé par Merryl, Jeff, Almira et les autres, les silences sont omniprésents, mais jamais vides. Ils portent le poids des émotions inexprimées, des blessures camouflées et des désirs inavoués. Ces moments où l’on aurait voulu parler, mais où les mots semblent nous trahir. Les silences dans l’amour ne sont pas toujours synonymes de distance. Parfois, ils sont au contraire le signe d’une compréhension profonde. Ils traduisent une complicité si forte qu’il n’y a pas besoin de mots pour se comprendre. Mais ces silences, lorsqu’ils s’accumulent, peuvent aussi devenir des barrières invisibles. Dans Elle, lui et la Mer , Merryl découvre que les non-dits, bien qu’oubliés ou ignorés, finissent toujours par resurgir. Ces “je t’aime” qui restent bloqués Une des thématiques centrales du roman est l’amour tu, celui qui n’a jamais été prononcé, mais qui a laissé une empreinte indélébile. Qui, dans une vie, n’a jamais retenu un “je t’aime” par peur de briser un amour, de changer une dynamique, ou simplement de ne pas être aimé en retour ? Merryl et Jeff incarnent cette tension, ce fil fragile qui lie l’amour au destin. Les moments qu’ils ont partagés, leur proximité évidente, tout semble crier ce que leurs bouches refusent de dire. Pourtant, par crainte de perdre ce qu’ils ont ou par manque de courage, ils préfèrent se réfugier dans un silence confortable, mais douloureux. Ces “je t’aime” avortés ne disparaissent jamais vraiment. Ils flottent dans l’air, dans les regards échangés et les gestes esquissés. Ils restent suspendus, comme un chapitre inachevé de leur histoire. Et même des années plus tard, ils continuent de hanter Merryl, comme une marée qui revient inlassablement, rappelant ce qui aurait pu être. Les non-dits : des fantômes du passé Ce qui rend les non-dits si puissants, c’est leur capacité à survivre au temps. Contrairement aux mots qui s’étiolent ou se perdent, les silences restent intacts. Ils s’imprègnent dans nos souvenirs, nous rappelons nos failles et nos regrets. Dans Elle, lui et la Mer , la disparition d’un être cher agit comme un révélateur, brisant la surface calme et obligeant chacun à affronter les vérités qu’il a longtemps évitées. C’est dans ces moments de crise que les non-dits se transforment en fardeaux. Ils deviennent des obstacles à la réconciliation, des fissures dans des liens autrefois solides. Mais ils offrent aussi une opportunité : celle de libérer enfin ce qui a été retenu, de faire la paix avec le passé et de réinventer l’avenir. On n’oublie jamais ce que l’on a vécu Ce que Elle, lui et la Mer nous rappelle, c’est que les souvenirs, même ceux que l’on croit enfouis, ne s’effacent jamais vraiment. Les silences, les non-dits et même les mots jamais prononcés continuent de résonner en nous, comme un écho qui refuse de s’éteindre. Merryl, en revenant à Bellavista, ne redécouvre pas seulement les lieux de son enfance. Elle se replonge dans un océan d’émotions, de regrets et de souvenirs. Chaque coin de rue, chaque souffle de vent chargé d’embruns ravive en elle ces moments qu’elle pensait oubliés. Ces “je t’aime” non dits, ces disputes jamais vraiment résolues, ces regards échappés qu’elle avait enfermés dans une boîte, quelque part dans son esprit, se libérent occasionnellement. Ce que Merryl comprend – et ce que le lecteur ressent intensément – ​​c’est que tout ce que nous avons vécu fait partie de nous, pour toujours. Les non-dits ne disparaissent pas. Ils se transforment en canapés invisibles de notre identité, en souvenirs parfois doux, parfois amers, mais toujours présents. Leçons d’une histoire tissée de silences À travers Elle, lui et la Mer , le silence prend une forme universelle. Il nous interroge sur nos propres vies : combien de mots avons-nous retenus ? Combien de “je t’aime” avons-nous cachés ? Combien de vérités avons-nous préféré taire, par peur ou par fierté ? Mais ce roman va plus loin en montrant que ces silences, bien que lourds, ne sont pas des condamnations. Ils sont une invitation à agir différemment, à apprendre à mieux écouter, à oser dire ce que l’on ressent, même quand cela semble difficile. C’est une histoire qui nous pousse à renouer avec nos souvenirs, à accepter nos regrets, mais aussi à trouver le courage de briser ces silences qui pèsent sur nos cœurs. Car, au fond, ce que nous avons vécu même les moments marqués par les non-dits reste une part précieuse de nous-mêmes. Et si, comme Merryl, nous osions un jour revenir sur nos propres rivages pour y libérer les mots retenus ? Pour vous procurer le livre d’Hélène Appert: Elle, lui et la mer
Se dire au revoir et adieu
Quand il faut se dire au revoir et se séparer, le cœur se serre, l’âme vacille et le monde semble soudainement plus froid et plus vaste. La séparation d’amour est une épreuve qui laisse des marques indélébiles, une blessure invisible mais profondément ressentie. Chaque adieu, chaque dernière étreinte, chaque regard échangé contient une douleur sourde, un mélange de nostalgie et de regrets, de souvenirs heureux et de rêves brisés. Dire au revoir, c’est accepter que ce qui était autrefois un tout harmonieux se divise en deux chemins distincts. C’est reconnaître que malgré les promesses et les espoirs, la vie nous pousse parfois à suivre des routes différentes. La séparation d’amour n’est jamais facile ; elle est souvent accompagnée de larmes silencieuses et de nuits d’insomnie, où l’on repense aux moments partagés, aux éclats de rire, aux doux murmures échangés dans le calme de la nuit. Chaque fin est un nouveau commencement, dit-on, mais il est difficile de voir l’aube d’un nouveau jour quand on est plongé dans l’obscurité de la perte. On s’accroche aux souvenirs comme à des bouées de sauvetage, cherchant réconfort dans ce qui a été, tout en redoutant l’incertitude de ce qui sera. Le cœur, fragile et vulnérable, se demande comment il pourra jamais guérir, comment il pourra retrouver la force d’aimer à nouveau. Pourtant, il y a une certaine beauté dans la douleur de la séparation. Elle nous rappelle notre capacité à ressentir profondément, à aimer intensément. Chaque larme versée est le reflet de l’importance que l’autre avait dans notre vie, de l’impact qu’il a eu sur notre être. La douleur de la séparation est aussi le signe de la profondeur de notre attachement, de la sincérité de nos sentiments. Se dire au revoir, c’est aussi faire preuve de courage. C’est accepter de laisser partir l’autre pour qu’il puisse trouver son propre chemin, même si cela signifie marcher seul pendant un temps. C’est un acte de respect et d’amour véritable, reconnaissant que parfois, le meilleur moyen de montrer son amour est de libérer l’autre, de lui permettre de voler de ses propres ailes. Avec le temps, les cicatrices laissées par la séparation s’atténuent, même si elles ne disparaissent jamais complètement. Elles deviennent des marques de notre parcours, des rappels de notre capacité à surmonter l’adversité. Chaque séparation nous apprend quelque chose sur nous-mêmes, sur notre résilience, notre capacité à guérir et à recommencer. Elle nous prépare à de nouveaux départs, à de nouvelles rencontres, à de nouvelles histoires d’amour. Alors, quand il faut se dire au revoir et se séparer, faisons-le avec gratitude pour les moments partagés, avec respect pour les chemins empruntés, et avec espoir pour l’avenir. Car chaque fin, aussi douloureuse soit-elle, porte en elle les germes d’un nouveau commencement, une nouvelle opportunité d’aimer et d’être aimé. Quand il faut se dire au revoir et se séparer, les jours semblent s’étirer à l’infini, remplis d’un vide qui semble impossible à combler. Chaque instant est chargé de la présence de l’autre, comme une ombre qui hante nos pensées et nos souvenirs. Chaque lieu, chaque objet, chaque chanson évoque le parfum de ce qui fut, et le poids de ce qui n’est plus. La séparation d’amour est une épreuve qui met à l’épreuve notre force intérieure, notre capacité à trouver la lumière même au cœur des ténèbres. C’est un voyage solitaire à travers les méandres de nos émotions, où la tristesse et la douleur se mêlent à la gratitude et à la reconnaissance pour les moments précieux partagés. Pourtant, au milieu de la douleur, il y a aussi de l’espoir. Car la séparation n’est pas la fin de l’histoire, mais simplement un chapitre qui se referme pour en laisser place à un autre. C’est une occasion de croissance, de transformation, de redécouverte de soi. C’est le moment de se réapproprier son propre récit, de tracer son propre chemin, de se redécouvrir dans la solitude pour mieux se retrouver dans l’amour. La séparation d’amour nous apprend la valeur de la patience, de la résilience, de la compassion envers soi-même. Elle nous enseigne à écouter les murmures de notre cœur, à suivre notre intuition, même lorsque le chemin semble incertain. Elle nous rappelle que chaque blessure est une occasion de guérison, que chaque larme versée est un pas de plus vers la lumière. Et alors que le temps passe et que les cicatrices se referment, nous réalisons que la séparation n’était pas une fin en soi, mais un passage nécessaire vers un nouvel horizon. Nous comprenons que l’amour ne meurt jamais vraiment, qu’il se transforme, se réinvente, se renouvelle dans chaque étreinte, chaque sourire, chaque éclat de rire partagé. Et ainsi, quand il faut se dire au revoir et se séparer, faisons-le avec grâce et avec dignité. Honorons le passé tout en embrassant l’avenir avec optimisme et espoir. Car même dans les moments les plus sombres, il y a toujours une lueur d’espoir qui brille au loin, prête à nous guider vers de nouveaux horizons, vers de nouveaux rêves, vers de nouveaux amours. Pour aller plus loin: Peut-on vraiment rencontrer son âme soeur sur des sites de rencontres? Les bienfaits d’une rencontre d’âme sur la croissance personnelle
Les chagrins éternels
Il y a dans notre vie ce qu’on appelle les chagrins éternels, ces douleurs silencieuses qui se nichent au creux de nos âmes. Ces chagrins éternels sont des blessures qui ne se referment jamais tout à fait. Ils sont tissés de souvenirs et de regrets et deviennent en quelque sorte, ce que j’appelle des compagnons discrets mais constants, des ombres qui suivent nos pas, même dans les jours les plus lumineux. Les chagrins éternels naissent souvent de pertes irréparables, d’amours brisés, de rêves évanouis, de déceptions brûlées à la bougie les soirs où on croit que tout peut recommencer. Ils sont les échos de voix aimées qui se sont tues, les traces indélébiles de regards qui ne croiseront plus les nôtres. Ils nous rappellent les moments de bonheur passés, maintenant teintés de mélancolie, et nous confrontent à l’irréversibilité du temps qui passe alors que nous restons là. Pourtant, ces chagrins, bien que lourds à porter, façonnent aussi notre humanité. Ils nous rendent plus sensibles à la souffrance des autres, plus aptes à apprécier les instants de joie, si fugitifs soient-ils. Ils creusent en nous des abîmes de tristesse. Mais ces abîmes peuvent aussi devenir des sources profondes de compréhension et de compassion pour soi et pour les autres. Vivre avec les chagrins éternels, c’est apprendre à coexister avec une certaine douleur, à accepter que certaines questions resteront sans réponse, que certaines absences ne seront jamais comblées. C’est reconnaître que la vie est faite de contrastes, de lumière et d’ombre, et que c’est précisément ce contraste qui donne toute sa profondeur à notre existence. Ces chagrins nous enseignent la résilience. Ils nous montrent que, même dans la souffrance, il est possible de trouver des moments de grâce, des éclats de beauté. Ils nous incitent à chercher des significations plus profondes, à trouver des raisons de continuer malgré tout. Dans leur présence constante, ils deviennent des témoins silencieux de notre capacité à survivre, à persévérer. Et parfois, dans le silence de ces chagrins, nous découvrons des trésors cachés : une force insoupçonnée, une sagesse nouvelle, une paix intérieure née de l’acceptation. Les chagrins éternels, bien qu’ils semblent insurmontables, peuvent finalement nous guider vers une forme de renaissance, nous rappeler que même dans la douleur, la vie continue de murmurer des promesses d’espoir et de renouveau. Nous sommes capables de vivre avec ces chagrins éternels pour devenir des créateurs de notre vie. En embrassant nos chagrins éternels, nous embrassons la totalité de notre être. Nous nous permettons de ressentir pleinement, de vivre authentiquement, et de marcher, avec toutes nos cicatrices, vers un horizon où chaque jour offre la possibilité d’un nouveau commencement. En écrivant sur nos chagrins éternels, nous tissons un lien avec notre existence. Nous prenons de la hauteur et nous prenons le chemin d’une guérison qui nous est propre. La tristesse nous appartient et elle a sa propre écriture d’âme. Nous n’avons besoin de personne pour nous guérir mais nous pouvons partager nos chagrins éternels pour en faire des perles de créativité au travers de l’écriture. Pour aller plus loin: Les bienfaits de l’écriture thérapeutique On est souvent trompé en amour
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